Le Premier ministre, ministre de l’Economie, des Finances et du Budget, Daniel Kablan Duncan a accordé une audience au Directeur du département d’alerte précoce pour la prévention des conflits de la CEDEAO, Abdou Lat Guèye, mardi 8 mars, à la Primature. Au sortir de la rencontre, M. Gueye a confié que les échanges ont porté sur le fonctionnement du mécanisme d’alerte précoce et de réponse de la CEDEAO (ECOWARN). Avant l’ouverture prochaine d’un centre national d’alerte précoce dont la mise en place a été décidée par le Gouvernement il y a quelques jours dans le cadre de cette stratégie sous-régionale, Abdou Lat Guèye a annoncé que ce mécanisme financé sur les cinq première années par les Etats-Unis d’Amérique coûtera « un peu plus de 50 millions de dollars pour les 15 pays de la CEDEAO et pour la Côte d’Ivoire un peu plus de 3 600 000 dollars ».
Expliquant son rôle et son bien-fondé, il a confié qu’il s’agit de mettre en place, dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, un dispositif avec des moniteurs qui sont sur le terrain pour collecter et disséminer les informations par rapport à la paix et la sécurité.
A l’en croire, le concept de paix et sécurité ne fait guère allusion ni aux renseignements ni à la sécurité d’Etat mais à la protection des populations tel que pensé dans le cadre de la sécurité humaine qui tous les domaines qui intéressent les populations.
« Vous savez qu’un Gouvernement a la responsabilité primaire de protéger ses populations, et aujourd’hui c’est dans le cadre de ce que nous appelons la sécurité humaine. Et c’est la sécurité au plan de l’agriculture, c’est la sécurité au plan de la santé, au niveau des infrastructures, au niveau des droits publics, etc. », a-t-il détaillé.
Au niveau régional, la mise en place du mécanisme d’alerte précoce en matière de sécurité prévoit le recrutement dans chacun de ces pays, d’un officier de liaison qui va servir de liaison entre le mécanisme d’alerte précoce et le centre national, a révélé M. Gueye.
Quant à l’appui du gouvernement américain, il permettra de couvrir sur une période de cinq ans non seulement l’équipement des centres qui seront sous peu mis en place mais également le paiement des salaires et indemnités des fonctionnaires qui seront employés au niveau de ce centre.
« Le projet supportera aussi non seulement la formation des cadres qui seront recrutés et déployés mais aussi ça ira jusqu’à supporter certains et programmes et activités de ce centre », a-t-il éclairé.
Notons que le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, le ministre des Affaires étrangères, Albert Toikeusse Mabri et celui de l’Intégration et des Ivoiriens de l’Etranger, Ally Coulibaly ont assisté à cette rencontre.
Expliquant son rôle et son bien-fondé, il a confié qu’il s’agit de mettre en place, dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, un dispositif avec des moniteurs qui sont sur le terrain pour collecter et disséminer les informations par rapport à la paix et la sécurité.
A l’en croire, le concept de paix et sécurité ne fait guère allusion ni aux renseignements ni à la sécurité d’Etat mais à la protection des populations tel que pensé dans le cadre de la sécurité humaine qui tous les domaines qui intéressent les populations.
« Vous savez qu’un Gouvernement a la responsabilité primaire de protéger ses populations, et aujourd’hui c’est dans le cadre de ce que nous appelons la sécurité humaine. Et c’est la sécurité au plan de l’agriculture, c’est la sécurité au plan de la santé, au niveau des infrastructures, au niveau des droits publics, etc. », a-t-il détaillé.
Au niveau régional, la mise en place du mécanisme d’alerte précoce en matière de sécurité prévoit le recrutement dans chacun de ces pays, d’un officier de liaison qui va servir de liaison entre le mécanisme d’alerte précoce et le centre national, a révélé M. Gueye.
Quant à l’appui du gouvernement américain, il permettra de couvrir sur une période de cinq ans non seulement l’équipement des centres qui seront sous peu mis en place mais également le paiement des salaires et indemnités des fonctionnaires qui seront employés au niveau de ce centre.
« Le projet supportera aussi non seulement la formation des cadres qui seront recrutés et déployés mais aussi ça ira jusqu’à supporter certains et programmes et activités de ce centre », a-t-il éclairé.
Notons que le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, le ministre des Affaires étrangères, Albert Toikeusse Mabri et celui de l’Intégration et des Ivoiriens de l’Etranger, Ally Coulibaly ont assisté à cette rencontre.