En prélude au lancement du projet de mise en œuvre des mécanismes nationaux d’alerte précoce et de réponse de la CEDEAO dans les Etats membres, une délégation de l’organisation régionale a séjourné récemment en Côte d’Ivoire.
Pendant son séjour, cette délégation, composée du Représentant spécial du président de la Commission de la CEDEAO en Côte d’Ivoire, l’Ambassadeur Jonathan O. COKER, du directeur de l’Alerte précoce, Dr Abdou Lat Gueye, ainsi que de Michel Saraka, Nanténé Coulibaly Seck et d’Esther Daramola, Analystes à la direction de l’Alerte précoce, a rencontré plusieurs autorités ivoiriennes.
Elle a eu des échanges avec le Premier ministre Daniel Kablan Duncan, tout comme avec des cadres des ministères de l’Intérieur et de la Sécurité, des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’extérieur ainsi qu’avec ceux du ministère chargé de la Défense.
Cette série de réunions avait pour but d’obtenir des autorités ivoiriennes la mise en place au plan national d’un groupe de travail chargé de superviser le processus de mise en œuvre du mécanisme national d’alerte précoce et de réponse de la CEDEAO et un local adéquat pouvant servir de bureaux pour abriter le Centre national de coordination de ce mécanisme.
D’ailleurs, le gouvernement ivoirien a déjà adopté en Conseil des ministres un décret portant création, attributions, organisation et fonctionnement dudit centre de même qu’une communication y afférente.
Ce décret intervient dans le cadre de la politique de prévention et de gestion des menaces sécuritaires auxquelles est confronté l’espace communautaire.
A noter que c’était en décembre 2015 à Abuja, au Nigéria, que le 48ème sommet ordinaire de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de l’organisation régionale a définitivement entériné le projet de mise en œuvre des mécanismes nationaux d’alerte précoce et de réponse de la CEDEAO dans les Etats membres en adoptant le Règlement relatif à sa mise en œuvre.
Les pays pilotes de ce projet sont la Côte d’Ivoire, le Libéria, la Guinée-Bissau, le Mali et le Burkina Faso.
Pendant son séjour, cette délégation, composée du Représentant spécial du président de la Commission de la CEDEAO en Côte d’Ivoire, l’Ambassadeur Jonathan O. COKER, du directeur de l’Alerte précoce, Dr Abdou Lat Gueye, ainsi que de Michel Saraka, Nanténé Coulibaly Seck et d’Esther Daramola, Analystes à la direction de l’Alerte précoce, a rencontré plusieurs autorités ivoiriennes.
Elle a eu des échanges avec le Premier ministre Daniel Kablan Duncan, tout comme avec des cadres des ministères de l’Intérieur et de la Sécurité, des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’extérieur ainsi qu’avec ceux du ministère chargé de la Défense.
Cette série de réunions avait pour but d’obtenir des autorités ivoiriennes la mise en place au plan national d’un groupe de travail chargé de superviser le processus de mise en œuvre du mécanisme national d’alerte précoce et de réponse de la CEDEAO et un local adéquat pouvant servir de bureaux pour abriter le Centre national de coordination de ce mécanisme.
D’ailleurs, le gouvernement ivoirien a déjà adopté en Conseil des ministres un décret portant création, attributions, organisation et fonctionnement dudit centre de même qu’une communication y afférente.
Ce décret intervient dans le cadre de la politique de prévention et de gestion des menaces sécuritaires auxquelles est confronté l’espace communautaire.
A noter que c’était en décembre 2015 à Abuja, au Nigéria, que le 48ème sommet ordinaire de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de l’organisation régionale a définitivement entériné le projet de mise en œuvre des mécanismes nationaux d’alerte précoce et de réponse de la CEDEAO dans les Etats membres en adoptant le Règlement relatif à sa mise en œuvre.
Les pays pilotes de ce projet sont la Côte d’Ivoire, le Libéria, la Guinée-Bissau, le Mali et le Burkina Faso.