Bouna, La porte-parole de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), Kadidia Ledron, a salué jeudi la baisse du nombre des déplacés dans les camps, quelques jours après les affrontements sanglants intervenus entre les communautés dans le département de Bouna (Nord-Est, région du Boukani).
« Nous saluons la tendance à la baisse dû au calme qui est revenu mais nous suivons de très près la situation et sommes en contact permanent tant avec les autorités qui gèrent la crise sur le terrain que leurs hiérarchies ici à Abidjan», a-t-elle déclaré faisant le point au téléphone à l’AIP.
Selon Mme Ledron, sur près de 2000 personnes reçues dans leur base de Bouna depuis le 24 mars, les pensionnaires sont aujourd’hui au nombre de 1500. Elles sont essentiellement composées de femmes, d’enfants et de vieux.
Depuis leur arrivée, a-t-elle précisé, ces populations déplacées bénéficient d’assistance humanitaire en vivres et non vivres, ainsi qu’en assistance médicale de la part des organisations onusiennes telles que le Programme alimentaire mondiale (PAM), le Haut-commissariat des réfugiés (HCR), le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA), de gouvernement ivoirien et des organisations non gouvernementales (ONG).
Des violences inter-communautaires qui ont éclatée dans le département de Bouna le 12 mars, suite à un conflit entre cultivateurs et agriculteurs, ont fait 19 morts, 53 blessés et de nombreuses maisons incendiées, selon les sources officielles.
Le ministre ivoirien de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, était mercredi dans la ville pour appeler les populations à l’apaisement.
(AIP)
fmo/sdaf/kp
« Nous saluons la tendance à la baisse dû au calme qui est revenu mais nous suivons de très près la situation et sommes en contact permanent tant avec les autorités qui gèrent la crise sur le terrain que leurs hiérarchies ici à Abidjan», a-t-elle déclaré faisant le point au téléphone à l’AIP.
Selon Mme Ledron, sur près de 2000 personnes reçues dans leur base de Bouna depuis le 24 mars, les pensionnaires sont aujourd’hui au nombre de 1500. Elles sont essentiellement composées de femmes, d’enfants et de vieux.
Depuis leur arrivée, a-t-elle précisé, ces populations déplacées bénéficient d’assistance humanitaire en vivres et non vivres, ainsi qu’en assistance médicale de la part des organisations onusiennes telles que le Programme alimentaire mondiale (PAM), le Haut-commissariat des réfugiés (HCR), le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA), de gouvernement ivoirien et des organisations non gouvernementales (ONG).
Des violences inter-communautaires qui ont éclatée dans le département de Bouna le 12 mars, suite à un conflit entre cultivateurs et agriculteurs, ont fait 19 morts, 53 blessés et de nombreuses maisons incendiées, selon les sources officielles.
Le ministre ivoirien de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, était mercredi dans la ville pour appeler les populations à l’apaisement.
(AIP)
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