Oumé - Un atelier sur la consultation environnementale et locale stratégique du processus REDD+ s’est tenu mercredi à la préfecture d’Oumé, sous la présidence du préfet Dogbo Labé François.
Pilotée par le cabinet BRL et financée par le PNUD, l’UE et la Banque mondiale, rencontre a permis aux participants répartis en deux groupes de faire le diagnostic et l’analyse des rapports-cadre de gestion et les éléments d’évaluation des impacts des gestions stratégiques dans le cadre dudit processus.
La REDD+, selon les experts environnementalistes Ettien N’Da et Akessé Léon, c’est la réduction des gaz à effet de serre due à la déforestation et à la dégradation des forêts, et l’accroissement des stocks de carbone.
Le mécanisme permet de valoriser économiquement les forêts sur pied en les rendant plus rentables par la conservation que par l’abattage.
Pour ce faire, ont-ils expliqué, une étude de modélisation sur la perte des forêts et l’utilisation des terres est en cours avec l’appui de l’Union européenne.
Selon des données actuelles, c’est près de 77 fois la taille d’un terrain de football que la Côte d’Ivoire perd en termes de forêts chaque jour. A ce rythme, ont faire remarquer les experts, le pays risque de perdre son capital forestier naturel restant sous peu.
C’est pour mieux appréhender les risques liés à l’accroissement des stocks de carbone dû à la déforestation et à la dégradation des forêts.
(AIP)
Dl/kp
Pilotée par le cabinet BRL et financée par le PNUD, l’UE et la Banque mondiale, rencontre a permis aux participants répartis en deux groupes de faire le diagnostic et l’analyse des rapports-cadre de gestion et les éléments d’évaluation des impacts des gestions stratégiques dans le cadre dudit processus.
La REDD+, selon les experts environnementalistes Ettien N’Da et Akessé Léon, c’est la réduction des gaz à effet de serre due à la déforestation et à la dégradation des forêts, et l’accroissement des stocks de carbone.
Le mécanisme permet de valoriser économiquement les forêts sur pied en les rendant plus rentables par la conservation que par l’abattage.
Pour ce faire, ont-ils expliqué, une étude de modélisation sur la perte des forêts et l’utilisation des terres est en cours avec l’appui de l’Union européenne.
Selon des données actuelles, c’est près de 77 fois la taille d’un terrain de football que la Côte d’Ivoire perd en termes de forêts chaque jour. A ce rythme, ont faire remarquer les experts, le pays risque de perdre son capital forestier naturel restant sous peu.
C’est pour mieux appréhender les risques liés à l’accroissement des stocks de carbone dû à la déforestation et à la dégradation des forêts.
(AIP)
Dl/kp