En Côte d'Ivoire, il ne se passe pas une semaine sans que la presse nationale ne fasse état d'agressions de « microbes », des affrontements entre communautés suite à des problèmes fonciers ou d'autres braquages plus ou moins violent grâce à la circulation d'armes. Les morts de Bouna, le démantèlement d'un gang à Port-Bouët où la mort d'un chef « microbe » à Abobo en sont les illustrations récentes, tandis qu'une équipe d'universitaires de Bouaké vient justement de rendre une synthèse sur les violences criminelles dans le pays.
Les sociologues et criminologues des universités de Bouaké et d’Abidjan, après avoir planché sur le sujet, en viennent au même constat : les conflits armés successifs, la croissance urbaine mal maîtrisée et des inégalités sociales... suite de l'article sur RFI
Les sociologues et criminologues des universités de Bouaké et d’Abidjan, après avoir planché sur le sujet, en viennent au même constat : les conflits armés successifs, la croissance urbaine mal maîtrisée et des inégalités sociales... suite de l'article sur RFI