San Pedro – Le Premier ministre Daniel Kablan Duncan a réceptionné et ouvert officiellement jeudi à San Pedro, 7,1 km de route réhabilitée et nouvellement bitumée, dans le cadre du Projet de renaissance des infrastructures de Côte d‘Ivoire (PRICI), en présence d’un des bailleurs de fonds, en l’occurrence le représentant de la Banque mondiale en Côte d’Ivoire.
Ces ouvrages ont nécessité la mobilisation de 12,7 milliards de francs CFA par la Banque mondiale et l’Etat de Côte d’Ivoire, dont 12,05 milliards FCFA pour la voirie urbaine, 174 millions FCFA pour les infrastructures sanitaires, 328 millions FCFA pour l’éclairage public et 127 millions FCFA pour l’assainissement.
Selon M. Duncan, le PRICI qui a succédé en 2013 au Programme d’urgence des infrastructures urbaines (PUIUR), donne entièrement satisfaction. Il a invité les populations à faire un bon usage et un bon entretien des ouvrages mis à leur disposition.
En 2011, le paysage routier de la ville portuaire de San Pedro (sud-ouest) ne laissait entrevoir que des tronçons de voirie praticables dans environ 50% des quartiers.
Selon le Ministre des Infrastructures économiques, Patrick Achi, les ouvrages du PRICI réalisés à San Pedro, « sur des instructions fermes du Président Alassane Ouattara », ont permis de doter la région de nouvelles infrastructures, afin de « faire de San Pedro un véritable pôle de croissance régionale, tout en mettant fin au calvaire des populations en matière d’infrastructures routières et sanitaires ».
Le Directeur des opérations de la Banque mondiale pour la Côte d’Ivoire, Pierre Laporte, a salué l’aboutissement de ce projet à San Pedro et promis le soutien de la Banque dans deux domaines importants, à savoir l’amélioration de la productivité de l’agriculture en appuyant les petits agriculteurs et le capital humain à bâtir pour soutenir le développement économique et la cohésion sociale, à travers l’amélioration des services de l’éducation, de la protection sociale, de la santé, de l’eau et de l’assainissement.
Les travaux de la voirie de San Pedro ont duré deux ans au lieu de huit mois initialement prévus, en raison de la nature marécageuse du sol de la ville balnéaire et portuaire, a expliqué le coordonateur du PRICI, Pierre Dimba.
jmk/cmas
Ces ouvrages ont nécessité la mobilisation de 12,7 milliards de francs CFA par la Banque mondiale et l’Etat de Côte d’Ivoire, dont 12,05 milliards FCFA pour la voirie urbaine, 174 millions FCFA pour les infrastructures sanitaires, 328 millions FCFA pour l’éclairage public et 127 millions FCFA pour l’assainissement.
Selon M. Duncan, le PRICI qui a succédé en 2013 au Programme d’urgence des infrastructures urbaines (PUIUR), donne entièrement satisfaction. Il a invité les populations à faire un bon usage et un bon entretien des ouvrages mis à leur disposition.
En 2011, le paysage routier de la ville portuaire de San Pedro (sud-ouest) ne laissait entrevoir que des tronçons de voirie praticables dans environ 50% des quartiers.
Selon le Ministre des Infrastructures économiques, Patrick Achi, les ouvrages du PRICI réalisés à San Pedro, « sur des instructions fermes du Président Alassane Ouattara », ont permis de doter la région de nouvelles infrastructures, afin de « faire de San Pedro un véritable pôle de croissance régionale, tout en mettant fin au calvaire des populations en matière d’infrastructures routières et sanitaires ».
Le Directeur des opérations de la Banque mondiale pour la Côte d’Ivoire, Pierre Laporte, a salué l’aboutissement de ce projet à San Pedro et promis le soutien de la Banque dans deux domaines importants, à savoir l’amélioration de la productivité de l’agriculture en appuyant les petits agriculteurs et le capital humain à bâtir pour soutenir le développement économique et la cohésion sociale, à travers l’amélioration des services de l’éducation, de la protection sociale, de la santé, de l’eau et de l’assainissement.
Les travaux de la voirie de San Pedro ont duré deux ans au lieu de huit mois initialement prévus, en raison de la nature marécageuse du sol de la ville balnéaire et portuaire, a expliqué le coordonateur du PRICI, Pierre Dimba.
jmk/cmas