La Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) envisage l’extension du réseau de gazoduc dans la sous-région, a appris APA vendredi, auprès du ministère en charge de l’énergie.
Cet engagement a été pris à l'occasion de la rencontre sous régionale sur le projet d'extension du gazoduc de l'Afrique de l'Ouest qui s'est achevée jeudi soir à Ouagadougou.
D'une longueur de 681 km, le gazoduc en service depuis 2011, dessert pour l'instant en gaz naturel à partir du Nigéria, le Bénin, le Ghana et le Togo
Le conclave de Ouagadougou a validé l'étude de faisabilité pour l'extension du réseau de gazoduc à d'autres pays de l'Afrique de l'Ouest et fait des recommandations pour la mise en œuvre.
Cette rencontre a été organisée conjointement par la direction de l'Energie de la Commission de la CEDEAO et l'Unité de préparation et de développement des projets d'Infrastructures (PPDU) de l'organisation régionale basée à Lomé.
Pour le commissaire chargé de l'énergie et des mines de la CEDEAO, le Guinéen Morlaye Bangoura, « l'un des défis majeurs à relever dans la sous-région, reste l'amélioration de l'accès des populations aux services énergétiques.
Malgré les énormes ressources énergétiques dont dispose cette région, près de 180 millions de personnes ont des problèmes d'accès à l'électricité, soit environ 60% de la population ».
C'est lors du 26ème sommet de la CEDEAO en 2003, que les Chefs d'Etat du Nigéria, du Bénin, du Ghana et du Togo avaient signé un traité pour la construction et l'exploitation dudit gazoduc, afin de transporter du gaz naturel pour la génération d'électricité et les besoins industriels en Afrique de l'Ouest.
Ce projet a un coût global d'environ 500 millions de dollar.
TT/of/APA
Cet engagement a été pris à l'occasion de la rencontre sous régionale sur le projet d'extension du gazoduc de l'Afrique de l'Ouest qui s'est achevée jeudi soir à Ouagadougou.
D'une longueur de 681 km, le gazoduc en service depuis 2011, dessert pour l'instant en gaz naturel à partir du Nigéria, le Bénin, le Ghana et le Togo
Le conclave de Ouagadougou a validé l'étude de faisabilité pour l'extension du réseau de gazoduc à d'autres pays de l'Afrique de l'Ouest et fait des recommandations pour la mise en œuvre.
Cette rencontre a été organisée conjointement par la direction de l'Energie de la Commission de la CEDEAO et l'Unité de préparation et de développement des projets d'Infrastructures (PPDU) de l'organisation régionale basée à Lomé.
Pour le commissaire chargé de l'énergie et des mines de la CEDEAO, le Guinéen Morlaye Bangoura, « l'un des défis majeurs à relever dans la sous-région, reste l'amélioration de l'accès des populations aux services énergétiques.
Malgré les énormes ressources énergétiques dont dispose cette région, près de 180 millions de personnes ont des problèmes d'accès à l'électricité, soit environ 60% de la population ».
C'est lors du 26ème sommet de la CEDEAO en 2003, que les Chefs d'Etat du Nigéria, du Bénin, du Ghana et du Togo avaient signé un traité pour la construction et l'exploitation dudit gazoduc, afin de transporter du gaz naturel pour la génération d'électricité et les besoins industriels en Afrique de l'Ouest.
Ce projet a un coût global d'environ 500 millions de dollar.
TT/of/APA