Excellence Monsieur le Président de la République de Côte d’Ivoire.
Monsieur le Premier ministre,
Mesdames et Messieurs les membres du gouvernement,
Excellences Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs et représentants du corps diplomatique,
Monsieur Pierre Gattaz, Président du MEDEF et les membres de sa délégation ;
Mesdames et Messieurs les Vice-présidents et administrateurs de la CGECI,
Chers amis entrepreneurs,
Excellence Monsieur le Président de la République, Le Président de la CGECI, Jean Kacou Diagou est très malheureux de manquer cette opportunité que vous nous offrez d’être à vos côtés alors que vous recevez en audience le MEDEF. Ça aurait été encore une fois, une occasion pour lui de vous renouveler ses meilleurs sentiments.
Excellence,
24 heures après son arrivée en Côte d’Ivoire, le Président du Medef, Pierre Gattaz me fit une réflexion et je le cite: "je réalise qu’il y a une forte relation entre le gouvernement ivoirien et son secteur privé". J’ai été perplexe et me suis dis avec étonnement "ça saute tant aux yeux?".
Mais à bien y réfléchir, il ne devrait pas en être autrement. Aucun pays en développement ne peut se payer le luxe de vivre au rythme d’un duel entre le gouvernement et son secteur privé. Il nous faut donc former un duo. Ce duo qui est apparemment si flagrant, est la clef pour accélérer la croissance économique de notre pays qui ambitionne d’être émergent à l’horizon 2020.
Un tel duo, c’est un état d’esprit. Et Cet état d’esprit Excellence, vous l’avez toujours affiché. Mais, aussi surprenant que cela pourrait vous paraître, c’est seulement maintenant que ce changement de paradigme s’opère dans l’esprit de bon nombre d’entre nous, nous les entrepreneurs ivoiriens. Tout le mérite vous revient donc.
Une autre mutation, elle aussi, assez inédite, pour être soulignée, est la nouvelle relation décomplexifiée qui s’installe progressivement entre le secteur privé ivoirien et le secteur privé français.
C’est d’ailleurs la première fois, après une dizaine de délégation, que le Président du MEDEF conduit lui même en personne une délégation.
Ce séjour du MEDEF en Côte d’Ivoire a été minutieusement préparé avec le secteur privé ivoirien avec le Président Pierre GATAZ lui même. Les séances de travail avec les entreprises du Medef ont commencé dès le lendemain de leur arrivée par un petit déjeuner avec le secteur privé ivoirien et se sont achevés par un dîner offert en leur honneur.
Plusieurs conventions de partenariat ont été et seront signés entre nos deux organisations patronales.
Le MEDEF d’aujourd’hui a compris que s’est en s’alliant à la CGECI, qu’ensemble, nos entreprises gagneront des parts, sur un marché, qui, finalement, n’appartient à personne, car nous sommes dans des économies libérales.
Dans cette nouvelle ère, seuls des partenariats forts et équitables peuvent être des issues, des portes d’entrée et des accès sûrs.
Excellence Monsieur le président de la République, vous nous montrez tous les jours que des ponts doivent être jetés entre les peuples et les pays.
Et notre pays n’a jamais autant renforcé son positionnement stratégique au cœur du monde que maintenant. Nous, acteurs du secteur privé, ne pouvons qu’emprunter cette voie : nous ouvrir aux autres pour aller à la conquête du monde et des marchés globalisés.
Nous sommes aujourd’hui avec le MEDEF.
Le nouveau MEDEF, comme nous, a l’humilité de reconnaître qu’il n’y a pas de marché acquis. D’ailleurs, Ni lui, ni même nous, ne nous sentons en terrain conquis ici, chez nous. Chaque espace devra donc être durement gagné.
Ce nouveau MEDEF, nous l’apprécions. Cette nouvelle approche des affaires, nous séduit. Car, nous entrepreneurs nationaux, sommes bien conscients que notre contribution à la fois efficace et efficiente dans la croissance économique de notre pays, passe par une forte compétitivité de nos entreprises.
Et c’est cette compétitivité qui nous permettra de mettre à la disposition des Ivoiriennes et Ivoiriens, des biens et services de qualité, en abondance et à des prix accessibles.
Car en définitive, c’est ainsi que les Ivoiriennes et Ivoiriens profiteront de la croissance économique de notre pays.
Il est évident qu’avec des partenariats éclairés, et avec nos homologues du MEDEF, nous créerons de meilleures synergies qui pourront soutenir l’émergence d’un secteur privé national compétitif, jouant efficacement son rôle de moteur d’une croissance inclusive.
Je vous remercie de votre attention.
Monsieur le Premier ministre,
Mesdames et Messieurs les membres du gouvernement,
Excellences Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs et représentants du corps diplomatique,
Monsieur Pierre Gattaz, Président du MEDEF et les membres de sa délégation ;
Mesdames et Messieurs les Vice-présidents et administrateurs de la CGECI,
Chers amis entrepreneurs,
Excellence Monsieur le Président de la République, Le Président de la CGECI, Jean Kacou Diagou est très malheureux de manquer cette opportunité que vous nous offrez d’être à vos côtés alors que vous recevez en audience le MEDEF. Ça aurait été encore une fois, une occasion pour lui de vous renouveler ses meilleurs sentiments.
Excellence,
24 heures après son arrivée en Côte d’Ivoire, le Président du Medef, Pierre Gattaz me fit une réflexion et je le cite: "je réalise qu’il y a une forte relation entre le gouvernement ivoirien et son secteur privé". J’ai été perplexe et me suis dis avec étonnement "ça saute tant aux yeux?".
Mais à bien y réfléchir, il ne devrait pas en être autrement. Aucun pays en développement ne peut se payer le luxe de vivre au rythme d’un duel entre le gouvernement et son secteur privé. Il nous faut donc former un duo. Ce duo qui est apparemment si flagrant, est la clef pour accélérer la croissance économique de notre pays qui ambitionne d’être émergent à l’horizon 2020.
Un tel duo, c’est un état d’esprit. Et Cet état d’esprit Excellence, vous l’avez toujours affiché. Mais, aussi surprenant que cela pourrait vous paraître, c’est seulement maintenant que ce changement de paradigme s’opère dans l’esprit de bon nombre d’entre nous, nous les entrepreneurs ivoiriens. Tout le mérite vous revient donc.
Une autre mutation, elle aussi, assez inédite, pour être soulignée, est la nouvelle relation décomplexifiée qui s’installe progressivement entre le secteur privé ivoirien et le secteur privé français.
C’est d’ailleurs la première fois, après une dizaine de délégation, que le Président du MEDEF conduit lui même en personne une délégation.
Ce séjour du MEDEF en Côte d’Ivoire a été minutieusement préparé avec le secteur privé ivoirien avec le Président Pierre GATAZ lui même. Les séances de travail avec les entreprises du Medef ont commencé dès le lendemain de leur arrivée par un petit déjeuner avec le secteur privé ivoirien et se sont achevés par un dîner offert en leur honneur.
Plusieurs conventions de partenariat ont été et seront signés entre nos deux organisations patronales.
Le MEDEF d’aujourd’hui a compris que s’est en s’alliant à la CGECI, qu’ensemble, nos entreprises gagneront des parts, sur un marché, qui, finalement, n’appartient à personne, car nous sommes dans des économies libérales.
Dans cette nouvelle ère, seuls des partenariats forts et équitables peuvent être des issues, des portes d’entrée et des accès sûrs.
Excellence Monsieur le président de la République, vous nous montrez tous les jours que des ponts doivent être jetés entre les peuples et les pays.
Et notre pays n’a jamais autant renforcé son positionnement stratégique au cœur du monde que maintenant. Nous, acteurs du secteur privé, ne pouvons qu’emprunter cette voie : nous ouvrir aux autres pour aller à la conquête du monde et des marchés globalisés.
Nous sommes aujourd’hui avec le MEDEF.
Le nouveau MEDEF, comme nous, a l’humilité de reconnaître qu’il n’y a pas de marché acquis. D’ailleurs, Ni lui, ni même nous, ne nous sentons en terrain conquis ici, chez nous. Chaque espace devra donc être durement gagné.
Ce nouveau MEDEF, nous l’apprécions. Cette nouvelle approche des affaires, nous séduit. Car, nous entrepreneurs nationaux, sommes bien conscients que notre contribution à la fois efficace et efficiente dans la croissance économique de notre pays, passe par une forte compétitivité de nos entreprises.
Et c’est cette compétitivité qui nous permettra de mettre à la disposition des Ivoiriennes et Ivoiriens, des biens et services de qualité, en abondance et à des prix accessibles.
Car en définitive, c’est ainsi que les Ivoiriennes et Ivoiriens profiteront de la croissance économique de notre pays.
Il est évident qu’avec des partenariats éclairés, et avec nos homologues du MEDEF, nous créerons de meilleures synergies qui pourront soutenir l’émergence d’un secteur privé national compétitif, jouant efficacement son rôle de moteur d’une croissance inclusive.
Je vous remercie de votre attention.