Marrakech - Des réformes structurelles et juridiques devraient être initiées pour disposer d’une administration routière forte capable d’apporter des solutions pérennes à la problématique de la surcharge reconnue comme facteur prédominant dans le processus de dégradation des routes en Afrique.
Cette recommandation a été adoptée, jeudi, à Marrakech, à la clôture du premier congrès africain sur l’entretien routier, la sauvegarde du patrimoine et l’innovation technique.
Il convient, selon les experts ayant pris part à ce congrès, de renforcer les capacités techniques et technologiques des cadres et agents de maîtrise œuvrant dans le domaine de l’entretien routier, de sécuriser les budgets alloués à la maintenance et de disposer d’une politique pluriannuelle de l’entretien routier en recherchant d’autres modes de financements particulièrement le partenariat public privé.
Dans cette perspective, ils recommandent la prise en compte des impacts prévisibles des changements climatiques, non sans souligner la nécessité d’échange d’expertise entre les pays africains, l’évaluation des programmes d’entretien routier pour réajuster, en continue,la stratégie adoptée et de privilégier la politique de l’entretien préventive des chaussées en prenant en compte les spécificités de chaque région.
le congrès a préconisé, par ailleurs, les matériels bitumineux stabilisés pour les routes à haut trafic afin d’augmenter le taux de recyclage actuel de l’ordre de 20% à 40%, l’utilisation des innovations techniques, la mise en place d’un système de gestion fiable, efficace et rationnel pour optimiser les ressources, la création d’un observatoire africain pour suivre de près le phénomène d’ensablement, ainsi que de la création d’un organe national interministériel chargé de l’étude et de l’approbation des projets susceptibles d’être réalisés dans le cadre d’un partenariat.
Le premier congrès africain sur l’entretien routier, la sauvegarde du patrimoine et l’innovation technique, tenu 03 au 06 mai, à Marrakech est placé sous le haut patronage du Roi Mohammed VI du Maroc. Il a enregistré 800 congressistes, et 30 exposants.
nam/akn/ask
Cette recommandation a été adoptée, jeudi, à Marrakech, à la clôture du premier congrès africain sur l’entretien routier, la sauvegarde du patrimoine et l’innovation technique.
Il convient, selon les experts ayant pris part à ce congrès, de renforcer les capacités techniques et technologiques des cadres et agents de maîtrise œuvrant dans le domaine de l’entretien routier, de sécuriser les budgets alloués à la maintenance et de disposer d’une politique pluriannuelle de l’entretien routier en recherchant d’autres modes de financements particulièrement le partenariat public privé.
Dans cette perspective, ils recommandent la prise en compte des impacts prévisibles des changements climatiques, non sans souligner la nécessité d’échange d’expertise entre les pays africains, l’évaluation des programmes d’entretien routier pour réajuster, en continue,la stratégie adoptée et de privilégier la politique de l’entretien préventive des chaussées en prenant en compte les spécificités de chaque région.
le congrès a préconisé, par ailleurs, les matériels bitumineux stabilisés pour les routes à haut trafic afin d’augmenter le taux de recyclage actuel de l’ordre de 20% à 40%, l’utilisation des innovations techniques, la mise en place d’un système de gestion fiable, efficace et rationnel pour optimiser les ressources, la création d’un observatoire africain pour suivre de près le phénomène d’ensablement, ainsi que de la création d’un organe national interministériel chargé de l’étude et de l’approbation des projets susceptibles d’être réalisés dans le cadre d’un partenariat.
Le premier congrès africain sur l’entretien routier, la sauvegarde du patrimoine et l’innovation technique, tenu 03 au 06 mai, à Marrakech est placé sous le haut patronage du Roi Mohammed VI du Maroc. Il a enregistré 800 congressistes, et 30 exposants.
nam/akn/ask