Des échanges avec certains jeunes, il en ressort qu’ils sont de plus en plus nombreux à comprendre qu’aujourd’hui l’entreprenariat est plus que nécessaire. Beaucoup de diplômés ont pris conscience du fait que l’Etat ne peut pas embaucher tout le monde. Les entreprises du secteur privé ne peuvent non plus absorber tout le monde. Il faut donc lancer sa propre affaire pour pouvoir se prendre en charge. Toutefois ces jeunes restent confrontés à plusieurs difficultés liées à la mise en œuvre de leurs idées. Le problème du financement des projets notamment, restent entier. Les interpellations faites aux bancaires et autres structures de financement n’ont donné aucun résultat.
Si beaucoup d’effort a été fait ces deux dernières années pour accompagner l’économie ivoirienne, les banques locales rechignent encore à mobiliser des fonds au profit des porteurs de projets. Pour sauver les PME, le gouvernement a initié le plan Phoenix. C’est un programme d’un coût de 150 à 200 milliards FCFA qui devrait permettre de soutenir les PME ivoiriennes. Ce programme phare du gouvernement vise à replacer les PME au centre des préoccupations en reconnaissance du rôle crucial qui est le leur dans le développement du pays. Il s’appuie sur quatre piliers que sont l’amélioration de l’accès au financement, le renforcement des capacités des PME, l’amélioration du climat des affaires et le développement de la culture entrepreneuriale.
Qui peut être entrepreneur?
Entreprendre, c’est d’abord oser, avoir des idées, y croire et surtout se donner les moyens pour réaliser les concrétiser, peu importe les obstacles que l’on pourrait rencontrer. Ainsi l’entrepreneur c’est celle ou celui qui a du courage, de l’audace. Un entrepreneur est avant tout un leader. L’entrepreneur n’est forcément un intellectuel qui une expérience en management, en gestion, un savoir faire sur le plan commercial, des capacités en comptabilité… La jeune dame analphabète qui vend des beignets dans le quartier est entrepreneure, la femme qui fabrique le savon domestique communément appelé “kabakrou” est entrepreneure, la vendeuse de légumes au marché l’est aussi ; même si l’idéal est que l’entrepreneur soit lettré et formé pour une mise en œuvre efficace de ses projets.
JC ACKE
Si beaucoup d’effort a été fait ces deux dernières années pour accompagner l’économie ivoirienne, les banques locales rechignent encore à mobiliser des fonds au profit des porteurs de projets. Pour sauver les PME, le gouvernement a initié le plan Phoenix. C’est un programme d’un coût de 150 à 200 milliards FCFA qui devrait permettre de soutenir les PME ivoiriennes. Ce programme phare du gouvernement vise à replacer les PME au centre des préoccupations en reconnaissance du rôle crucial qui est le leur dans le développement du pays. Il s’appuie sur quatre piliers que sont l’amélioration de l’accès au financement, le renforcement des capacités des PME, l’amélioration du climat des affaires et le développement de la culture entrepreneuriale.
Qui peut être entrepreneur?
Entreprendre, c’est d’abord oser, avoir des idées, y croire et surtout se donner les moyens pour réaliser les concrétiser, peu importe les obstacles que l’on pourrait rencontrer. Ainsi l’entrepreneur c’est celle ou celui qui a du courage, de l’audace. Un entrepreneur est avant tout un leader. L’entrepreneur n’est forcément un intellectuel qui une expérience en management, en gestion, un savoir faire sur le plan commercial, des capacités en comptabilité… La jeune dame analphabète qui vend des beignets dans le quartier est entrepreneure, la femme qui fabrique le savon domestique communément appelé “kabakrou” est entrepreneure, la vendeuse de légumes au marché l’est aussi ; même si l’idéal est que l’entrepreneur soit lettré et formé pour une mise en œuvre efficace de ses projets.
JC ACKE