Abidjan (Côte d'Ivoire) - La 25è session ordinaire du Conseil des gouverneurs de la Stratégie de la Fondation pour le Renforcement des Capacités en Afrique (ACBF) se tiendra du 30 juin au 1er juillet prochain à Abidjan, a appris APA, mardi, dans la capitale économique ivoirienne.
Ces assises d’Abidjan se tiendront à l’initiative du gouvernement ivoirien et de la Banque africaine de développement (BAD) en vue de répondre aux exigences de renforcement des capacités du continent africain au cours des cinq prochaines années (2017-2021), souligne une note de présentation.
Cette fondation se propose dans son plan stratégique 2017-2021, de mener des efforts de renforcement des capacités pour réaliser sa vision d’une Afrique capable de réaliser son propre développement.
Plus précisément, stipule le document, l’ACBF se concentrera sur l’accélération et l’intensification des efforts pour développer, les compétences techniques critiques, mettant l’accent sur l’égalité de mesure, le renforcement, la rétention et l’utilisation des capacités.
Renforcer les institutions clés de développement, et changer les mentalités en vue de mettre en œuvre des stratégies mondiales, continentales et nationales sont également au nombre des objectifs de l’ACBF.
‘’Le renforcement des capacités est un paramètre déterminant pour une mise en œuvre réussie de ce programme de développement du continent, qui sera exécuté à travers une architecture nationale et continentale comprenant les pays, les institutions régionales et continentales’’ indique cette note.
La Fondation pour le renforcement des capacités en Afrique (ACBF: African Capacity Building Foundation) a été créée en 1991 comme une organisation internationale indépendante à but non lucratif.
Elle renforce les capacités humaines et institutionnelles pour la bonne gouvernance et le développement économique en Afrique. L’ACBF appuie le renforcement des capacités à l’aide d’investissements, d’assistance technique, de la production et du partage des connaissances en Afrique.
Les principaux partenaires de la Fondation sont les gouvernements africains, la Banque africaine de développement (BAD), le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et la Banque mondiale.
CK/ls/APA
Ces assises d’Abidjan se tiendront à l’initiative du gouvernement ivoirien et de la Banque africaine de développement (BAD) en vue de répondre aux exigences de renforcement des capacités du continent africain au cours des cinq prochaines années (2017-2021), souligne une note de présentation.
Cette fondation se propose dans son plan stratégique 2017-2021, de mener des efforts de renforcement des capacités pour réaliser sa vision d’une Afrique capable de réaliser son propre développement.
Plus précisément, stipule le document, l’ACBF se concentrera sur l’accélération et l’intensification des efforts pour développer, les compétences techniques critiques, mettant l’accent sur l’égalité de mesure, le renforcement, la rétention et l’utilisation des capacités.
Renforcer les institutions clés de développement, et changer les mentalités en vue de mettre en œuvre des stratégies mondiales, continentales et nationales sont également au nombre des objectifs de l’ACBF.
‘’Le renforcement des capacités est un paramètre déterminant pour une mise en œuvre réussie de ce programme de développement du continent, qui sera exécuté à travers une architecture nationale et continentale comprenant les pays, les institutions régionales et continentales’’ indique cette note.
La Fondation pour le renforcement des capacités en Afrique (ACBF: African Capacity Building Foundation) a été créée en 1991 comme une organisation internationale indépendante à but non lucratif.
Elle renforce les capacités humaines et institutionnelles pour la bonne gouvernance et le développement économique en Afrique. L’ACBF appuie le renforcement des capacités à l’aide d’investissements, d’assistance technique, de la production et du partage des connaissances en Afrique.
Les principaux partenaires de la Fondation sont les gouvernements africains, la Banque africaine de développement (BAD), le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et la Banque mondiale.
CK/ls/APA
