Titré Germain, président du Parti ivoirien des défis à relever (Pidar) a, dans le communiqué ci-dessous, énuméré les problèmes du secteur du transport terrestre qui selon lui, sont fourmillantes. Pour lui, Gaoussou Touré assailli et assiégé par tous les problèmes de son secteur a voulu mettre de l’ordre dans ce milieu ‘’pourri’’ en commençant par de nouveaux permis de conduire infalsifiables et répondant aux normes internationales. Ce qui selon lui, devrait être soutenu.
Dans un pays démocratique, les gouvernants ont pour mission de veiller nuit et jour pour réfléchir aux solutions des problèmes des gouvernés pour leurs meilleures conditions d’existence. Plus les problèmes d’un pays augmentent plus les gouvernants doivent se priver de sommeil pour chercher les voies et moyens pour le bonheur du peuple qui leur délègue momentanément le pouvoir. En Côte d’Ivoire, les gouvernants ont démissionné dans un domaine important de la vie à tel point que les Ivoiriens vivent une insécurité permanente. Il s’agit du domaine du transport terrestre. Ce secteur est très miné par de nombreux problèmes qu’aucun des ministres du transport qui se sont succédé n’a jamais réglés en partie. Ce sont entre autres absence de feux tricolores à certains carrefours, des pannes à durée indéterminée de feux tricolores à d’autres carrefours, absence des radars sur toutes les voies publiques à forte densité, vitesse et excès de vitesse, embouteillages partout pourvu qu’il y ait le moindre accrochage entre deux véhicules, étroitesse des voies et même de belles routes ou séparées par des bandes blanches, les fonctionnaires et travailleurs en retard à leurs postes de travail, dégradations entières ou par endroits des voies publiques, vétusté des véhicules de transport en commun hors usage autorisés à la circulation, un pléthore de syndicats autoproclamés, des syndicats de chauffeurs autorisés non organisés et non identifiés par des tenues, des chauffeurs de transport non identifiés par des tenues, des chauffeurs atteints de myopie, pléthore de chauffeurs analphabètes ou ayant appris le travail après avoir été des apprentis et qui n’ont pas fait d’auto-école, absence de bus de transport dans tous les quartiers d’Abidjan, certains personnes que les permis de conduire viennent trouver à la maison sans véritablement faire d’auto-école, des auto-écoles qui manquent de rigueur et non contrôlées, des dépassements dangereux et des rallyes sur les voies publiques, des véhicules de transport en commun et de personnels non plombés , pléthore de chauffeurs sans permis de conduire ni d’assurance qui prennent la fuite après des accidents, pléthore de permis de conduire fraudés ou falsifiés qui sont autant de maux qui minent le secteur du transport ivoirien, qui mettent tous les ivoiriens et les étrangers en danger permanent. Ce qui explique le triste record mondial de la Côte d’Ivoire dans les accidents de la circulation avec des milliers de voyageurs et de piétons tués chaque année. Le ministre du Transport ivoirien Gaoussou Touré assailli et assiégé par tous les problèmes de son secteur a voulu mettre de l’ordre dans ce milieu pourri en commençant par de nouveaux permis de conduire infalsifiables et répondant aux normes internationales. Et si le ministre avait raison ? Ce n’est pas parce que certains Ivoiriens, visés et concernés ont grogné qu’il a eu tort et que les transporteurs et les chauffeurs doivent continuer impunément de mettre en péril la vie des Ivoiriens. Le PIDAR dit non et demande la levée de la mesure de suspension prise par le Président de la République le 1er Mai 2016 dernier pour calmer le jeu. Il faut qu’on mette de l’ordre dans le secteur désordonné du transport qui endeuille chaque jour de nombreuses familles ivoiriennes. Si non le PIDAR va le noter comme étant un échec du premier et du second mandat du Président de la République ADO Solutions qui n’a pas trouvé de solution au département du transport car la non résolution quotidienne et urgente et méthodique, intelligente des problèmes a fait depuis l’indépendance de la Côte d’Ivoire plusieurs milliers de disparus et d’handicapés dont la plupart ne sont pas dédommagés faute d’assurance de véhicule. Le PIDAR ne peut pas tolérer de cette mauvaise gouvernance. Tous les acteurs de ce secteur se permettent tout parce que non inquiétés par les forces de l’ordre affaiblis très vite accusés à tort ou à raison de les racquetter. Car si les forces de l’ordre avaient les mains libres pour faire avec toute la rigueur leur travail, c’est seulement quelques véhicules à jour qui circuleraient en Côte d’Ivoire. Alors pourquoi ne pas les laisser travailler pour mettre de l’ordre à l’indiscipline dans le secteur du transport. Que le pouvoir fasse son travail s’il ne veut pas être désavoué par le PIDAR.
Dans un pays démocratique, les gouvernants ont pour mission de veiller nuit et jour pour réfléchir aux solutions des problèmes des gouvernés pour leurs meilleures conditions d’existence. Plus les problèmes d’un pays augmentent plus les gouvernants doivent se priver de sommeil pour chercher les voies et moyens pour le bonheur du peuple qui leur délègue momentanément le pouvoir. En Côte d’Ivoire, les gouvernants ont démissionné dans un domaine important de la vie à tel point que les Ivoiriens vivent une insécurité permanente. Il s’agit du domaine du transport terrestre. Ce secteur est très miné par de nombreux problèmes qu’aucun des ministres du transport qui se sont succédé n’a jamais réglés en partie. Ce sont entre autres absence de feux tricolores à certains carrefours, des pannes à durée indéterminée de feux tricolores à d’autres carrefours, absence des radars sur toutes les voies publiques à forte densité, vitesse et excès de vitesse, embouteillages partout pourvu qu’il y ait le moindre accrochage entre deux véhicules, étroitesse des voies et même de belles routes ou séparées par des bandes blanches, les fonctionnaires et travailleurs en retard à leurs postes de travail, dégradations entières ou par endroits des voies publiques, vétusté des véhicules de transport en commun hors usage autorisés à la circulation, un pléthore de syndicats autoproclamés, des syndicats de chauffeurs autorisés non organisés et non identifiés par des tenues, des chauffeurs de transport non identifiés par des tenues, des chauffeurs atteints de myopie, pléthore de chauffeurs analphabètes ou ayant appris le travail après avoir été des apprentis et qui n’ont pas fait d’auto-école, absence de bus de transport dans tous les quartiers d’Abidjan, certains personnes que les permis de conduire viennent trouver à la maison sans véritablement faire d’auto-école, des auto-écoles qui manquent de rigueur et non contrôlées, des dépassements dangereux et des rallyes sur les voies publiques, des véhicules de transport en commun et de personnels non plombés , pléthore de chauffeurs sans permis de conduire ni d’assurance qui prennent la fuite après des accidents, pléthore de permis de conduire fraudés ou falsifiés qui sont autant de maux qui minent le secteur du transport ivoirien, qui mettent tous les ivoiriens et les étrangers en danger permanent. Ce qui explique le triste record mondial de la Côte d’Ivoire dans les accidents de la circulation avec des milliers de voyageurs et de piétons tués chaque année. Le ministre du Transport ivoirien Gaoussou Touré assailli et assiégé par tous les problèmes de son secteur a voulu mettre de l’ordre dans ce milieu pourri en commençant par de nouveaux permis de conduire infalsifiables et répondant aux normes internationales. Et si le ministre avait raison ? Ce n’est pas parce que certains Ivoiriens, visés et concernés ont grogné qu’il a eu tort et que les transporteurs et les chauffeurs doivent continuer impunément de mettre en péril la vie des Ivoiriens. Le PIDAR dit non et demande la levée de la mesure de suspension prise par le Président de la République le 1er Mai 2016 dernier pour calmer le jeu. Il faut qu’on mette de l’ordre dans le secteur désordonné du transport qui endeuille chaque jour de nombreuses familles ivoiriennes. Si non le PIDAR va le noter comme étant un échec du premier et du second mandat du Président de la République ADO Solutions qui n’a pas trouvé de solution au département du transport car la non résolution quotidienne et urgente et méthodique, intelligente des problèmes a fait depuis l’indépendance de la Côte d’Ivoire plusieurs milliers de disparus et d’handicapés dont la plupart ne sont pas dédommagés faute d’assurance de véhicule. Le PIDAR ne peut pas tolérer de cette mauvaise gouvernance. Tous les acteurs de ce secteur se permettent tout parce que non inquiétés par les forces de l’ordre affaiblis très vite accusés à tort ou à raison de les racquetter. Car si les forces de l’ordre avaient les mains libres pour faire avec toute la rigueur leur travail, c’est seulement quelques véhicules à jour qui circuleraient en Côte d’Ivoire. Alors pourquoi ne pas les laisser travailler pour mettre de l’ordre à l’indiscipline dans le secteur du transport. Que le pouvoir fasse son travail s’il ne veut pas être désavoué par le PIDAR.