Agboville- L'imam central de la grande mosquée d'Agboville, El Hadj Ibrahim Diarra, a relevé mercredi, lors de la prière de l'Aïd el Fitr, un besoin d'équilibre entre la technologie et la morale dans l’islam, en tant que religion, en vue d'une meilleure applicabilité du message chez les fidèles.
L'objectif de la religion n'a jamais été d'interdire le développement, mais d'établir l'équilibre entre les deux concepts, afin d'éviter que la mauvaise influence des nouvelles technologies ne conduise, comme c'est le cas souvent, les gestionnaires à confondre les biens publics et leurs poches, à promouvoir la prostitution gangrénée avec l'homosexualité galopante, selon le guide religieux.
"Ces pratiques prospèrent à cause de la mauvaise utilisation de l'internet et des nouvelles technologies", a-t-il affirmé, rappelant que l'objectif des imams est de raffermir la foi des fidèles et leur volonté à faire disparaitre la vision de "deux islams", une reposant sur la morale et l'autre s'appuyant sur les nouvelles technologies.
La célébration de la fin du Ramadan s'est effectuée en présence des autorités administratives, politiques, coutumières et ecclésiastiques du département, conduite par le préfet de région, préfet du département d'Agboville, Bako Privat.
dd/kp
L'objectif de la religion n'a jamais été d'interdire le développement, mais d'établir l'équilibre entre les deux concepts, afin d'éviter que la mauvaise influence des nouvelles technologies ne conduise, comme c'est le cas souvent, les gestionnaires à confondre les biens publics et leurs poches, à promouvoir la prostitution gangrénée avec l'homosexualité galopante, selon le guide religieux.
"Ces pratiques prospèrent à cause de la mauvaise utilisation de l'internet et des nouvelles technologies", a-t-il affirmé, rappelant que l'objectif des imams est de raffermir la foi des fidèles et leur volonté à faire disparaitre la vision de "deux islams", une reposant sur la morale et l'autre s'appuyant sur les nouvelles technologies.
La célébration de la fin du Ramadan s'est effectuée en présence des autorités administratives, politiques, coutumières et ecclésiastiques du département, conduite par le préfet de région, préfet du département d'Agboville, Bako Privat.
dd/kp