Un nouveau rapport de l'ONU, publié lundi, appelle les autorités ivoiriennes à redoubler d'efforts dans la prévention et la répression des viols, un fléau qui continue de faire de nombreuses victimes dans le pays.
Conjointement publié par l'Opération des Nations Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) et le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme (HCDH), ce rapport présente l'analyse des principales tendances concernant les viols et les tentatives de viol commis en Côte d'Ivoire, entre le 1er janvier 2012 et le 31 décembre 2015, ainsi que l'état des poursuites judiciaires contre les auteurs présumés de ces viols et tentatives de viol, et les obstacles à leur poursuite.
Le rapport met en évidence certains progrès réalisés par les autorités ivoiriennes et formule des recommandations en vue de renforcer les actions de prévention et la lutte contre l'impunité à l'égard des violences sexuelles.
Selon un communiqué de l'ONU, le rapport documente 1129 cas de viol en Côte d'Ivoire entre le 1er janvier 2012 et le 31 décembre 2015, dont 66% des victimes sont des enfants.
Les conclusions du rapport soulignent l'importance de la mise en œuvre de la Stratégie nationale de lutte contre les violences basées sur le genre. Elles plaident également en faveur d'une action urgente et ciblée sur les enfants. Le rapport appelle également à améliorer la réponse du système judiciaire et à réformer certaines pratiques et normes afin de consolider l'action de répression du viol.
Le rapport recommande entre autres aux autorités ivoiriennes de "veiller à ce que toutes les victimes de violences sexuelles aient accès à la justice, en particulier en leur fournissant une aide juridique gratuite" et de "considérer la tenue de sessions d'assises spécialisées sur les crimes de viol afin de lutter efficacement et promptement contre ces crimes".
Conjointement publié par l'Opération des Nations Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) et le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme (HCDH), ce rapport présente l'analyse des principales tendances concernant les viols et les tentatives de viol commis en Côte d'Ivoire, entre le 1er janvier 2012 et le 31 décembre 2015, ainsi que l'état des poursuites judiciaires contre les auteurs présumés de ces viols et tentatives de viol, et les obstacles à leur poursuite.
Le rapport met en évidence certains progrès réalisés par les autorités ivoiriennes et formule des recommandations en vue de renforcer les actions de prévention et la lutte contre l'impunité à l'égard des violences sexuelles.
Selon un communiqué de l'ONU, le rapport documente 1129 cas de viol en Côte d'Ivoire entre le 1er janvier 2012 et le 31 décembre 2015, dont 66% des victimes sont des enfants.
Les conclusions du rapport soulignent l'importance de la mise en œuvre de la Stratégie nationale de lutte contre les violences basées sur le genre. Elles plaident également en faveur d'une action urgente et ciblée sur les enfants. Le rapport appelle également à améliorer la réponse du système judiciaire et à réformer certaines pratiques et normes afin de consolider l'action de répression du viol.
Le rapport recommande entre autres aux autorités ivoiriennes de "veiller à ce que toutes les victimes de violences sexuelles aient accès à la justice, en particulier en leur fournissant une aide juridique gratuite" et de "considérer la tenue de sessions d'assises spécialisées sur les crimes de viol afin de lutter efficacement et promptement contre ces crimes".