Abidjan – Le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, a déploré lundi la décision prise par un tribunal de Bahreïn de dissoudre Al Wefaq, le principal parti politique d'opposition du pays.
« Cette décision est la dernière en date d'une série de restrictions des droits de réunion pacifique, de liberté d'association et de liberté d'expression à Bahreïn », a déploré le chef des Nations Unies dans un communiqué de presse rendu public par son porte-parole.
Le Secrétaire général a souligné que la dissolution d'Al Wefaq, le retrait de la citoyenneté de Cheikh Issa Qassem et d'autres leaders de l'opposition, l'interdiction de voyage imposée aux défenseurs des droits de l'homme, et « l'augmentation de la peine de justice » à l'encontre du Secrétaire général de Al Wefaq, Cheikh Ali Salman, risquent de conduire à une escalade de la situation, « déjà tendue dans le pays ».
M. Ban a par conséquent appelé à la reprise d'un dialogue national ouvert à tous, dans l'intérêt de la paix et de la stabilité de Bahreïn et de la région.
(AIP)
kam
« Cette décision est la dernière en date d'une série de restrictions des droits de réunion pacifique, de liberté d'association et de liberté d'expression à Bahreïn », a déploré le chef des Nations Unies dans un communiqué de presse rendu public par son porte-parole.
Le Secrétaire général a souligné que la dissolution d'Al Wefaq, le retrait de la citoyenneté de Cheikh Issa Qassem et d'autres leaders de l'opposition, l'interdiction de voyage imposée aux défenseurs des droits de l'homme, et « l'augmentation de la peine de justice » à l'encontre du Secrétaire général de Al Wefaq, Cheikh Ali Salman, risquent de conduire à une escalade de la situation, « déjà tendue dans le pays ».
M. Ban a par conséquent appelé à la reprise d'un dialogue national ouvert à tous, dans l'intérêt de la paix et de la stabilité de Bahreïn et de la région.
(AIP)
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