Instauré depuis quelques années par le Secrétariat général des Nations Unies, le 25 juillet a été décrété la Journée de sensibilisation des violences faites aux femmes. Dans sa volonté de réduire, voire de mettre fin à ce phénomène, l’Onu Femmes et l’Association Sephis ont, à l’occasion de la ‘‘ Journée orange’’ célébrée le lundi 25 juillet 2016, éveillé les consciences sur les pratiques qui déshonorent la femme.
Selon les organisations des droits de l’homme, plus de 50% des femmes et jeunes filles dans le monde sont victimes de violences. En Côte d’Ivoire, l’Onu femmes et l’Association Sephis, ont, à travers ladite journée, décidé d’unir leurs forces pour sensibiliser le peuple ivoirien. « Mutiler une femme, c’est voler sa vie, battre une femme, c’est voler sa vie. Violer les droits d’une femme, c’est voler sa vie ». C’est autour de ce thème qu’a été célébrée au siège de l’Onu femmes à Abidjan-Cocody, la ‘‘journée orange’’. Pour Kodjo Sefora, présidente de l’Association Sephis, la protection et la promotion vont de paire. « Si nous voulons des femmes fortes et des institutions fortes, nous sommes obligées de briser le silence et de parler des faits et des fléaux qui réduisent considérablement le potentiel de la femmes à travers les violences qu’elles subissent », a-t-elle indiqué. La responsable du programme Onu femmes Côte d’Ivoire, Mme Oka Balima a, pour sa part, expliqué la campagne de sensibilisation dans laquelle elles sont engagées. A l’en croire, une série d’activités sur le sujet est menée à travers le monde entier et notamment en Côte d’Ivoire pour marquer cette journée. Et ce, pour lutter efficacement contre les mutilations génitales, les violences domestiques et conjugales, les mariages précoces et forcés, le harcèlement sexuel, la traite et la prostitution de sorte que manifestement, la volonté du gouvernement à mettre fin à ces agissements soit respectée.
Les organisateurs des différentes campagnes de sensibilisation souhaitent vivement passer dans un délai raisonnable de la ‘‘journée orange’’ à la ‘‘journée verte’’, qui serait selon eux, le signe de la fin des violences faites aux femmes et les jeunes filles.
O.I
Selon les organisations des droits de l’homme, plus de 50% des femmes et jeunes filles dans le monde sont victimes de violences. En Côte d’Ivoire, l’Onu femmes et l’Association Sephis, ont, à travers ladite journée, décidé d’unir leurs forces pour sensibiliser le peuple ivoirien. « Mutiler une femme, c’est voler sa vie, battre une femme, c’est voler sa vie. Violer les droits d’une femme, c’est voler sa vie ». C’est autour de ce thème qu’a été célébrée au siège de l’Onu femmes à Abidjan-Cocody, la ‘‘journée orange’’. Pour Kodjo Sefora, présidente de l’Association Sephis, la protection et la promotion vont de paire. « Si nous voulons des femmes fortes et des institutions fortes, nous sommes obligées de briser le silence et de parler des faits et des fléaux qui réduisent considérablement le potentiel de la femmes à travers les violences qu’elles subissent », a-t-elle indiqué. La responsable du programme Onu femmes Côte d’Ivoire, Mme Oka Balima a, pour sa part, expliqué la campagne de sensibilisation dans laquelle elles sont engagées. A l’en croire, une série d’activités sur le sujet est menée à travers le monde entier et notamment en Côte d’Ivoire pour marquer cette journée. Et ce, pour lutter efficacement contre les mutilations génitales, les violences domestiques et conjugales, les mariages précoces et forcés, le harcèlement sexuel, la traite et la prostitution de sorte que manifestement, la volonté du gouvernement à mettre fin à ces agissements soit respectée.
Les organisateurs des différentes campagnes de sensibilisation souhaitent vivement passer dans un délai raisonnable de la ‘‘journée orange’’ à la ‘‘journée verte’’, qui serait selon eux, le signe de la fin des violences faites aux femmes et les jeunes filles.
O.I
