La Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE), fournisseur exclusif d’électricité en Côte d’Ivoire pèse "35 milliards de FCFA en bourse", a indiqué jeudi son secrétaire général, Emmanuel Kouadio lors d’une rencontre à Yamoussoukro dans le centre ivoirien.
"Avec un coût des parts boursières ayant atteint un pic de 75.000 FCFA en 2016 contre moins de 4000 FCFA en 1992, la CIE est cotée à 35 milliards de FCFA à la bourse des valeurs d’Abidjan", a déclaré M. Kouadio au cours des Journées nationales des ressources humaines (JNRH) qui se tiennent jusqu’à vendredi dans la capitale politique.
"Pour son expertise reconnue" dans la gestion de ses 4485 employés dont 1593 ouvriers, 2409 agents de maîtrise et 483 cadres, "la CIE a inspiré plus d’une centaine de gestionnaires ivoiriens et sous régionaux des ressources humaines qui veulent améliorer leur politique sociale et la performance de leurs entreprises" (publiques ou privées), a dit Eugénie ATTIA, promotrice des JNRH.
Ces journées qui sont à leur 4ème édition permettent de "trouver un équilibre managérial entre les besoins du salariés (promotion, vacances, couverture santé, équilibre familial), et celui de l’entreprise (productivité, performance)", selon Mme ATTIA qui dit avoir "trouvé ces valeurs" dans cette compagnie qui a fait récemment l’actualité en Côte d’Ivoire.
Le mardi 19 juillet, des manifestations populaires contre la CIE pour réclamer "l’annulation des dates limites de paiement des factures émises en juillet et leur coût élevé" ont eu lieu à Yamoussoukro, Daloa (Centre-Ouest), Korhogo (Nord) et à Bouaké (centre) le 22 juillet, ou les protestations, plus violentes ont fait un mort par balle, plusieurs blessés et des locaux d’administratifs et privés saccagés (bilan officiel).
ATI
"Avec un coût des parts boursières ayant atteint un pic de 75.000 FCFA en 2016 contre moins de 4000 FCFA en 1992, la CIE est cotée à 35 milliards de FCFA à la bourse des valeurs d’Abidjan", a déclaré M. Kouadio au cours des Journées nationales des ressources humaines (JNRH) qui se tiennent jusqu’à vendredi dans la capitale politique.
"Pour son expertise reconnue" dans la gestion de ses 4485 employés dont 1593 ouvriers, 2409 agents de maîtrise et 483 cadres, "la CIE a inspiré plus d’une centaine de gestionnaires ivoiriens et sous régionaux des ressources humaines qui veulent améliorer leur politique sociale et la performance de leurs entreprises" (publiques ou privées), a dit Eugénie ATTIA, promotrice des JNRH.
Ces journées qui sont à leur 4ème édition permettent de "trouver un équilibre managérial entre les besoins du salariés (promotion, vacances, couverture santé, équilibre familial), et celui de l’entreprise (productivité, performance)", selon Mme ATTIA qui dit avoir "trouvé ces valeurs" dans cette compagnie qui a fait récemment l’actualité en Côte d’Ivoire.
Le mardi 19 juillet, des manifestations populaires contre la CIE pour réclamer "l’annulation des dates limites de paiement des factures émises en juillet et leur coût élevé" ont eu lieu à Yamoussoukro, Daloa (Centre-Ouest), Korhogo (Nord) et à Bouaké (centre) le 22 juillet, ou les protestations, plus violentes ont fait un mort par balle, plusieurs blessés et des locaux d’administratifs et privés saccagés (bilan officiel).
ATI