Le président ivoirien, Alassane Ouattara, a instruit "la police d’organiser des patrouilles régulières" dans le pays, afin de venir à bout des "enfants délinquants" appelés également "microbes", lors de son discours à la veille de la fête de l’indépendance.
"J’instruis la police d’organiser des patrouilles régulières dans les quartiers d’Abidjan ainsi que dans les villes de l’intérieur et d’agir avec fermeté pour que ces enfants (…) ne constituent plus une menace pour nos populations", a déclaré M. Ouattara à la télévision nationale.
Il a évoqué la mise en place d'un "programme de réinsertion sociale en faveur" de ces "enfants délinquants mineurs" afin de "rétablir les liens avec leurs familles, leur inculquer les valeurs civiques et morales et les aider à retourner à l’école ou à apprendre un métier".
Selon le chef de l’Etat, ces "mesures de resocialisation permettront d’annihiler définitivement (la) menace", ajoutant que les "agressions" de ces jeunes délinquants constituent des "préoccupations" pour les populations.
Signalé au départ dans quelques communes au nord et à l’ouest d’Abidjan, le phénomène des "microbes", ces jeunes délinquants qui se sont faits remarquer par la violence de leurs attaques au couteau et à la machette, s’est rapidement répandu dans toute la capitale économique ivoirienne.
MYA
"J’instruis la police d’organiser des patrouilles régulières dans les quartiers d’Abidjan ainsi que dans les villes de l’intérieur et d’agir avec fermeté pour que ces enfants (…) ne constituent plus une menace pour nos populations", a déclaré M. Ouattara à la télévision nationale.
Il a évoqué la mise en place d'un "programme de réinsertion sociale en faveur" de ces "enfants délinquants mineurs" afin de "rétablir les liens avec leurs familles, leur inculquer les valeurs civiques et morales et les aider à retourner à l’école ou à apprendre un métier".
Selon le chef de l’Etat, ces "mesures de resocialisation permettront d’annihiler définitivement (la) menace", ajoutant que les "agressions" de ces jeunes délinquants constituent des "préoccupations" pour les populations.
Signalé au départ dans quelques communes au nord et à l’ouest d’Abidjan, le phénomène des "microbes", ces jeunes délinquants qui se sont faits remarquer par la violence de leurs attaques au couteau et à la machette, s’est rapidement répandu dans toute la capitale économique ivoirienne.
MYA