Le Président ivoirien s’est adressé à la nation à la veille de la commémoration du 56ème anniversaire de l’indépendance de la Côte d’Ivoire le samedi 6 août 2016.
Dans son discours, Alassane Ouattara est revenu sur son projet de mise en place d’une nouvelle Constitution. Il a indiqué que son objectif est de construire une Côte d’Ivoire stable, nouvelle avec des Ivoiriens nouveaux. « Les bases de cette nouvelle Constitution ont été acceptées de façon consensuelle par toutes les forces vives de la nation dans les différents accords politiques signés notamment ceux de Linas-Marcoussis en janvier 2003. Il nous a, cependant, paru important d’associer à ces échanges toutes les couches de notre société en vue d’actualiser ces reformes », a déclaré le chef de l’Etat ivoirien. Qui a rappelé avoir eu des échanges avec les chefs traditionnels et religieux, les partis politiques et les organisations de la societé civile. Il a profité de l’occasion pour donner des précisions sur le vice-président : « Le vice-président sera élu au suffrage universel direct en même temps que le Président de la République. Ainsi, en cas de vacance de pouvoir, il garantit la continuité de l’Etat d’une part et du respect du calendrier électoral d’autre part. Tout comme le Président de la République, le vice-président représentera le choix du peuple ». Concernant le Senat, il a fait savoir que la création de celui-ci « va conférer au parlement ivoirien un caractère bicaméral, mais garantissant la primauté de l’Assemblée nationale ». Il a donc invité les populations ivoiriennes à être prêtes à prendre leurs responsabilités face à l’histoire. « A travers cette réforme constitutionnelle et le référendum, nous aurons notre destin en main. Plus encore, nous aurons le destin de nos enfants et de notre pays en main. Le texte final qui nous sera soumis dans quelques semaines par le comité d’experts sera le reflet de ces réformes mais également les propositions de toutes les forces vives de la nation. Ces propositions seront soumises à vos décisions à la fin du mois d’octobre de cette année. Le dernier mot vous reviendra. Les élections législatives pourront ainsi se tenir sur la base de cette nouvelle constitution. Tous ensemble soyons prêts à prendre nos responsabilités face à l’histoire », a-t-il conseillé.
Dans son discours, Alassane Ouattara est revenu sur son projet de mise en place d’une nouvelle Constitution. Il a indiqué que son objectif est de construire une Côte d’Ivoire stable, nouvelle avec des Ivoiriens nouveaux. « Les bases de cette nouvelle Constitution ont été acceptées de façon consensuelle par toutes les forces vives de la nation dans les différents accords politiques signés notamment ceux de Linas-Marcoussis en janvier 2003. Il nous a, cependant, paru important d’associer à ces échanges toutes les couches de notre société en vue d’actualiser ces reformes », a déclaré le chef de l’Etat ivoirien. Qui a rappelé avoir eu des échanges avec les chefs traditionnels et religieux, les partis politiques et les organisations de la societé civile. Il a profité de l’occasion pour donner des précisions sur le vice-président : « Le vice-président sera élu au suffrage universel direct en même temps que le Président de la République. Ainsi, en cas de vacance de pouvoir, il garantit la continuité de l’Etat d’une part et du respect du calendrier électoral d’autre part. Tout comme le Président de la République, le vice-président représentera le choix du peuple ». Concernant le Senat, il a fait savoir que la création de celui-ci « va conférer au parlement ivoirien un caractère bicaméral, mais garantissant la primauté de l’Assemblée nationale ». Il a donc invité les populations ivoiriennes à être prêtes à prendre leurs responsabilités face à l’histoire. « A travers cette réforme constitutionnelle et le référendum, nous aurons notre destin en main. Plus encore, nous aurons le destin de nos enfants et de notre pays en main. Le texte final qui nous sera soumis dans quelques semaines par le comité d’experts sera le reflet de ces réformes mais également les propositions de toutes les forces vives de la nation. Ces propositions seront soumises à vos décisions à la fin du mois d’octobre de cette année. Le dernier mot vous reviendra. Les élections législatives pourront ainsi se tenir sur la base de cette nouvelle constitution. Tous ensemble soyons prêts à prendre nos responsabilités face à l’histoire », a-t-il conseillé.