Le Chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara a demandé aux populations, notamment celles du Centre, Nord et Ouest du pays de se rappeler des efforts de la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE) qui a maintenu la fourniture de l’électricité dans ces zones pendant la décennie de crise qu’a traversée le pays, « malgré l’impossibilité pour des centaines de milliers de ces populations à payer leur facture ».
M. Ouattara qui s’exprimait à la veille de la célébration du 56è anniversaire de l’indépendance de la Côte d’Ivoire est longuement revenu sur les remous sociaux, notamment la contestation des dernières factures émises par la CIE et la crise à l’université.
S’agissant du cas particulier de l’électricité, a-t-il dit, « je voudrais rappeler que la Compagnie Ivoirienne d’Electricité (CIE) ne ménage aucun effort, pour que chaque foyer de Côte d’Ivoire ait de l’électricité en permanence, même au plus fort des crises que notre pays a traversées ».
Pour lui, « le cas de la ville de Bouaké et des zones Centre, Nord et Ouest de la Côte d’Ivoire illustre bien le dévouement des hommes et des femmes qui travaillent à la CIE ».
Pendant la situation sécuritaire précaire dans ces zones (2002-2010), a rappelé Alassane Ouattara, «ils ont maintenu l’électricité dans ces régions, malgré l’impossibilité pour des centaines de milliers de ces populations à payer leur facture. Ils l’ont fait par amour pour leur travail ».
C’est pourquoi, le chef de l’Etat insistant qu’ils « ne méritent pas d’être agressés », a encouragé « vivement toutes les parties à poursuivre les négociations qui ont déjà abouties à un accord entre la CIE et les organisations des consommateurs ».
« Afin de veiller à la bonne application des instructions que j’ai données le 1er mai dernier, à l’occasion de la fête du travail, j’ai demandé un audit des facturations de la CIE. Vous serez informés des résultats de cet audit et nous en tirerons les leçons », a conclu Alassane Ouattara.
Plusieurs localités ont connu, il y’ a quelques semaines des échauffourées à la suite d’un mouvement de grogne contre les factures d’électricité émises par la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE). Celles de Bouaké ont été d’une violence extrême, causant un mort et d’importants dégâts matériels.
LS/APA
M. Ouattara qui s’exprimait à la veille de la célébration du 56è anniversaire de l’indépendance de la Côte d’Ivoire est longuement revenu sur les remous sociaux, notamment la contestation des dernières factures émises par la CIE et la crise à l’université.
S’agissant du cas particulier de l’électricité, a-t-il dit, « je voudrais rappeler que la Compagnie Ivoirienne d’Electricité (CIE) ne ménage aucun effort, pour que chaque foyer de Côte d’Ivoire ait de l’électricité en permanence, même au plus fort des crises que notre pays a traversées ».
Pour lui, « le cas de la ville de Bouaké et des zones Centre, Nord et Ouest de la Côte d’Ivoire illustre bien le dévouement des hommes et des femmes qui travaillent à la CIE ».
Pendant la situation sécuritaire précaire dans ces zones (2002-2010), a rappelé Alassane Ouattara, «ils ont maintenu l’électricité dans ces régions, malgré l’impossibilité pour des centaines de milliers de ces populations à payer leur facture. Ils l’ont fait par amour pour leur travail ».
C’est pourquoi, le chef de l’Etat insistant qu’ils « ne méritent pas d’être agressés », a encouragé « vivement toutes les parties à poursuivre les négociations qui ont déjà abouties à un accord entre la CIE et les organisations des consommateurs ».
« Afin de veiller à la bonne application des instructions que j’ai données le 1er mai dernier, à l’occasion de la fête du travail, j’ai demandé un audit des facturations de la CIE. Vous serez informés des résultats de cet audit et nous en tirerons les leçons », a conclu Alassane Ouattara.
Plusieurs localités ont connu, il y’ a quelques semaines des échauffourées à la suite d’un mouvement de grogne contre les factures d’électricité émises par la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE). Celles de Bouaké ont été d’une violence extrême, causant un mort et d’importants dégâts matériels.
LS/APA