Le président des vendeurs de moutons de Bouaké, M’Baye Barry, qui s’exprimait, samedi, lors d’un entretien accordé à APA, le ‘’strict’’ respect des mesures sur la fluidité routière, décrétées à la veille de la fête de la Tabaski, ont permis de ‘’stabiliser’’ le prix du mouton dans le Centre-Nord ivoirien, malgré la ‘’surenchère’’ pratiquée par certains revendeurs.
‘’Nous remercions particulièrement le gouvernement pour ces mesures concernant la fluidité routière’’ s’est exprimé M. Barry, ajoutant que cette action ‘’a permis de stabiliser le prix du mouton sur le marché de Bouaké’’.
Selon lui, malgré le peu d’approvisionnement du marché de Bouaké, ‘’les prix n’ont pas beaucoup varié cette année, les moutons moyens se négocient entre 65 000 et 100 000 FCFA grâce à cette décision du gouvernement’’.
En dehors de cette mesure, a-t-il déploré, ‘’les éleveurs payaient entre 10 000 et 15 000 FCFA par tête de bétail entre les frontières du Mali ou du Burkina Faso à ici’’. Ce qui se répercutait naturellement selon lui sur le prix de revient des bêtes.
‘’C’est vrai qu’on a eu un réel problème d’approvisionnement jamais égalé depuis 20 ans à Bouaké, mais il n’y a pas de feu à la demeure. Ici à Bouaké, c’est de plus en plus la ruée vers les bœufs que l’on constate pendant la Tabaski’’ a-t-il fait remarquer.
Pour lui, l’arrêt momentané du trafic ferroviaire entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso, occasionné par l’affaissement d’un pont-rail à Dimbokro, dans le Centre du pays ‘’n’a aucune incidence sur l’approvisionnement du marché de Bouaké en moutons’’. ‘’Ce marché est traditionnellement destiné à la clientèle d’Abidjan’’ a-t-il conclu.
L’Aid Al-Adha (Aïd el-kebir) ou la Tabaski est la deuxième grande fête de la religion musulmane après la fête de fin du jeûne. Elle se déroule au lendemain de la station d’Arafat en Arabie Saoudite, (pilier essentiel du Hadj), fixée au dimanche 11 septembre 2016. Cette fête sera célébrée le lundi 12 septembre en Côte d’Ivoire.
L’Aïd el-kebir commémore la soumission à Dieu du Prophète Abraham qui était prêt à sacrifier son fils aîné Ismaël sur son ordre. Chaque musulman ayant les moyens doit immoler un bélier pendante cette fête pour perpétuer cet acte d’Abraham.
CK/ls/APA
‘’Nous remercions particulièrement le gouvernement pour ces mesures concernant la fluidité routière’’ s’est exprimé M. Barry, ajoutant que cette action ‘’a permis de stabiliser le prix du mouton sur le marché de Bouaké’’.
Selon lui, malgré le peu d’approvisionnement du marché de Bouaké, ‘’les prix n’ont pas beaucoup varié cette année, les moutons moyens se négocient entre 65 000 et 100 000 FCFA grâce à cette décision du gouvernement’’.
En dehors de cette mesure, a-t-il déploré, ‘’les éleveurs payaient entre 10 000 et 15 000 FCFA par tête de bétail entre les frontières du Mali ou du Burkina Faso à ici’’. Ce qui se répercutait naturellement selon lui sur le prix de revient des bêtes.
‘’C’est vrai qu’on a eu un réel problème d’approvisionnement jamais égalé depuis 20 ans à Bouaké, mais il n’y a pas de feu à la demeure. Ici à Bouaké, c’est de plus en plus la ruée vers les bœufs que l’on constate pendant la Tabaski’’ a-t-il fait remarquer.
Pour lui, l’arrêt momentané du trafic ferroviaire entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso, occasionné par l’affaissement d’un pont-rail à Dimbokro, dans le Centre du pays ‘’n’a aucune incidence sur l’approvisionnement du marché de Bouaké en moutons’’. ‘’Ce marché est traditionnellement destiné à la clientèle d’Abidjan’’ a-t-il conclu.
L’Aid Al-Adha (Aïd el-kebir) ou la Tabaski est la deuxième grande fête de la religion musulmane après la fête de fin du jeûne. Elle se déroule au lendemain de la station d’Arafat en Arabie Saoudite, (pilier essentiel du Hadj), fixée au dimanche 11 septembre 2016. Cette fête sera célébrée le lundi 12 septembre en Côte d’Ivoire.
L’Aïd el-kebir commémore la soumission à Dieu du Prophète Abraham qui était prêt à sacrifier son fils aîné Ismaël sur son ordre. Chaque musulman ayant les moyens doit immoler un bélier pendante cette fête pour perpétuer cet acte d’Abraham.
CK/ls/APA