La jeunesse musulmane d’Agboville a été appelée à tourner le dos au djihadisme, ce phénomène destructeur qui "prend de l’ampleur dans le monde entier", selon le secrétaire général de la préfecture, Elie Abion Yao, affirmant lundi, lors de la prière marquant la Tabaski que l’islam est une "religion de paix et de tolérance".
M. Abion a souhaité que tous les enfants de confession musulmane soit scolarisés, car "l’école est d’une importance capitale et surtout parce que l’enfant qui n’est pas allé à l’école et qui n’est donc pas instruit est un danger pour lui-même, pour sa famille et pour la société".
Pour le représentant du préfet de la région et du département, si le djihadisme prend des proportions inquiétantes, cela relève du fait que les enfants n’ont pas reçu l’éducation adéquate et appropriée. "Si les enfants sont instruits, ils ne vont jamais s’adonner au djihadisme", a-t-il déclaré, invitant les parents à inculquer les valeurs fondamentales de l’islam à leurs enfants.
"L’islam est une religion de paix et de tolérance, mais la paix commence par soi-même d’abord, il faut que nous soyons en paix avec nous-mêmes, avant d’être en paix avec les autres, avant de communiquer cette paix aux autres", a indiqué l’autorité administrative, invitant la communauté musulmane aux vertus de tolérance et de partage.
"Tolérance pour dire, il faut pardonner les fautes d’autrui, nous-mêmes nous sommes pécheurs. Partage, parce que le monde est devenu égoïste et toutes les guerres que nous connaissons sont dues au fait que nous ne voulons pas partager. Et si les gens sont dans le besoin, ils sont enclins à se détourner de la voie de Dieu et à devenir violents", a expliqué Elie Abion Yao.
Il a indiqué que l’immolation du bélier à la place de l’enfant signifie que le sang humain est précieux et nul ne doit verser le sang humain.
"C’est pourquoi ceux qui vont, sous le prétexte d’obéissance à Allah, donner la mort, sont à condamner", a-t-il dit, exhortant les parents à apprendre à leurs enfants que le sacrifice a été déjà fait et donc nul n’a besoin d’aller encore verser du sang au nom de Dieu.’’
Ja/kp
M. Abion a souhaité que tous les enfants de confession musulmane soit scolarisés, car "l’école est d’une importance capitale et surtout parce que l’enfant qui n’est pas allé à l’école et qui n’est donc pas instruit est un danger pour lui-même, pour sa famille et pour la société".
Pour le représentant du préfet de la région et du département, si le djihadisme prend des proportions inquiétantes, cela relève du fait que les enfants n’ont pas reçu l’éducation adéquate et appropriée. "Si les enfants sont instruits, ils ne vont jamais s’adonner au djihadisme", a-t-il déclaré, invitant les parents à inculquer les valeurs fondamentales de l’islam à leurs enfants.
"L’islam est une religion de paix et de tolérance, mais la paix commence par soi-même d’abord, il faut que nous soyons en paix avec nous-mêmes, avant d’être en paix avec les autres, avant de communiquer cette paix aux autres", a indiqué l’autorité administrative, invitant la communauté musulmane aux vertus de tolérance et de partage.
"Tolérance pour dire, il faut pardonner les fautes d’autrui, nous-mêmes nous sommes pécheurs. Partage, parce que le monde est devenu égoïste et toutes les guerres que nous connaissons sont dues au fait que nous ne voulons pas partager. Et si les gens sont dans le besoin, ils sont enclins à se détourner de la voie de Dieu et à devenir violents", a expliqué Elie Abion Yao.
Il a indiqué que l’immolation du bélier à la place de l’enfant signifie que le sang humain est précieux et nul ne doit verser le sang humain.
"C’est pourquoi ceux qui vont, sous le prétexte d’obéissance à Allah, donner la mort, sont à condamner", a-t-il dit, exhortant les parents à apprendre à leurs enfants que le sacrifice a été déjà fait et donc nul n’a besoin d’aller encore verser du sang au nom de Dieu.’’
Ja/kp
