Le président ivoirien, Alassane Ouattara, a reçu mercredi à Abidjan le ministre gabonais de l'Intérieur, de la Décentralisation et de la Sécurité Pacôme Moubelet Boubeya, porteur d'un "message d'union" de son président Ali Bongo.
Au terme de la rencontre, Pacôme Moubelet Boubeya a indiqué être venu de la part de M. Bongo pour "réaffirmer" au président Alassane Ouattara "les liens de fraternité qui ont toujours uni les peuples ivoirien et gabonais".
"Pour le président Ali Bongo, il ne peut y avoir aucune fronde, aucun nuage dans les relations entre la Côte d'Ivoire et le Gabon, encore moins entre les deux peuples", a-t-il souligné.
Le ministre gabonais de l'Intérieur a souligné que ce "message d'union" est "un message particulier qui nous rappelle l'histoire que nous avons en commun depuis la veille de nos indépendances jusqu'à ce jour".
A l'issue de l'élection présidentielle du 30 août, le Gabon a dénoncé des "ingérences extérieures" dans le processus électoral en accusant un conseiller du président Alassane Ouattara d'avoir tenté de favoriser le retrait de trois membres de la Commission électorale "par corruption" et de "semer des troubles à l'ordre public".
Alassane Ouattara a démis dès le lendemain son conseiller spécial pour "ingérence" dans le processus électoral au Gabon.
Pour le gouvernement ivoirien, il s'agit d'une démarche personnelle d'un individu qui n'engage en rien l'Etat ivoirien.
La Commission électorale du Gabon a annoncé la réélection d'Ali Bongo, malgré les accusations de fraude de son rival Jean Ping.
Le verdict du Conseil constitutionnel est attendu pour confirmer ou infirmer la victoire d'Ali Bongo.
Au terme de la rencontre, Pacôme Moubelet Boubeya a indiqué être venu de la part de M. Bongo pour "réaffirmer" au président Alassane Ouattara "les liens de fraternité qui ont toujours uni les peuples ivoirien et gabonais".
"Pour le président Ali Bongo, il ne peut y avoir aucune fronde, aucun nuage dans les relations entre la Côte d'Ivoire et le Gabon, encore moins entre les deux peuples", a-t-il souligné.
Le ministre gabonais de l'Intérieur a souligné que ce "message d'union" est "un message particulier qui nous rappelle l'histoire que nous avons en commun depuis la veille de nos indépendances jusqu'à ce jour".
A l'issue de l'élection présidentielle du 30 août, le Gabon a dénoncé des "ingérences extérieures" dans le processus électoral en accusant un conseiller du président Alassane Ouattara d'avoir tenté de favoriser le retrait de trois membres de la Commission électorale "par corruption" et de "semer des troubles à l'ordre public".
Alassane Ouattara a démis dès le lendemain son conseiller spécial pour "ingérence" dans le processus électoral au Gabon.
Pour le gouvernement ivoirien, il s'agit d'une démarche personnelle d'un individu qui n'engage en rien l'Etat ivoirien.
La Commission électorale du Gabon a annoncé la réélection d'Ali Bongo, malgré les accusations de fraude de son rival Jean Ping.
Le verdict du Conseil constitutionnel est attendu pour confirmer ou infirmer la victoire d'Ali Bongo.