Abidjan – L’Organisation mondiale de la santé a démarré mercredi à Abidjan, une réunion régionale sur le renforcement de la mise en œuvre du processus graduel d’amélioration des laboratoires en vue de sensibiliser et informer les pays participants sur l'initiative et le processus d’amélioration de la qualité des laboratoires vers l'accréditation.
« Les laboratoires jouent un rôle capital parce qu’ils fournissent des informations sûres qui contribuent à la prise de décision dans le cadre du Règlement Sanitaire International et à l’orientation des interventions de santé publique, aussi, l’accréditation d’un laboratoire contribue-t-elle sérieusement à l’amélioration de la qualité de ses résultats de diagnostic », a justifié le Représentant par intérim de l’OMS, Dr Seydou Coulibaly, à l’ouverture des travaux, selon un communiqué de presse de l’institution.
« Il existe actuellement en Afrique très peu de laboratoires accrédités, et la plupart d’entre eux appartiennent au secteur privé ou à des organismes de recherche internationaux. Le processus d’accréditation exige la conformité à des conditions rigoureuses qui ne sont généralement pas remplies par la plupart des laboratoires de santé publique en Afrique », a-t-il ajouté.
Le Directeur Général de l’Institut national de santé publique (INSP), Pr Kouassi Dinard, représentant la ministre de la santé a indiqué que la disponibilité effective et la capacité fonctionnelle d’un laboratoire est incontournable dans nos systèmes de santé face à l’émergence de toutes les maladies à potentiel épidémique afin de pouvoir rendre des diagnostics exacts nécessaires pour leur prise en charge efficace.
Le Processus graduel d’amélioration des laboratoires en vue de l'accréditation dans la Région Africaine vise à appuyer les pays dans leurs efforts de renforcement des systèmes nationaux de laboratoire. Il s’agit d’un processus mis en place en vue d’aider les pays à améliorer progressivement les systèmes de gestion de la qualité des laboratoires de référence vers l’accréditation suivant la norme internationale ISO 15189.
kam
« Les laboratoires jouent un rôle capital parce qu’ils fournissent des informations sûres qui contribuent à la prise de décision dans le cadre du Règlement Sanitaire International et à l’orientation des interventions de santé publique, aussi, l’accréditation d’un laboratoire contribue-t-elle sérieusement à l’amélioration de la qualité de ses résultats de diagnostic », a justifié le Représentant par intérim de l’OMS, Dr Seydou Coulibaly, à l’ouverture des travaux, selon un communiqué de presse de l’institution.
« Il existe actuellement en Afrique très peu de laboratoires accrédités, et la plupart d’entre eux appartiennent au secteur privé ou à des organismes de recherche internationaux. Le processus d’accréditation exige la conformité à des conditions rigoureuses qui ne sont généralement pas remplies par la plupart des laboratoires de santé publique en Afrique », a-t-il ajouté.
Le Directeur Général de l’Institut national de santé publique (INSP), Pr Kouassi Dinard, représentant la ministre de la santé a indiqué que la disponibilité effective et la capacité fonctionnelle d’un laboratoire est incontournable dans nos systèmes de santé face à l’émergence de toutes les maladies à potentiel épidémique afin de pouvoir rendre des diagnostics exacts nécessaires pour leur prise en charge efficace.
Le Processus graduel d’amélioration des laboratoires en vue de l'accréditation dans la Région Africaine vise à appuyer les pays dans leurs efforts de renforcement des systèmes nationaux de laboratoire. Il s’agit d’un processus mis en place en vue d’aider les pays à améliorer progressivement les systèmes de gestion de la qualité des laboratoires de référence vers l’accréditation suivant la norme internationale ISO 15189.
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