Le Gabon se réveille vendredi avec la peur de nouvelles violences et dans l'incertitude la plus totale alors que la Cour constitutionnelle doit trancher sur le contentieux électoral entre le président sortant Ali Bongo Ondimba et son rival Jean Ping.
Aux abois depuis des semaines, les Gabonais ne savent même pas si la Cour rendra sa décision ce vendredi, dans les délais prévus par la Constitution, soit quinze jours après le recours de Jean Ping contre la réélection d’Ali Bongo.
La présidente de la Cour, Marie-Madeleine Mborantsuo, a laissé elle-même planer le suspense jeudi soir à l’issue d’une séance publique, où les avocats d’Ali Bongo et Jean Ping ont procédé à une dernière passe d’armes. suite de l'article sur Jeune Afrique
Aux abois depuis des semaines, les Gabonais ne savent même pas si la Cour rendra sa décision ce vendredi, dans les délais prévus par la Constitution, soit quinze jours après le recours de Jean Ping contre la réélection d’Ali Bongo.
La présidente de la Cour, Marie-Madeleine Mborantsuo, a laissé elle-même planer le suspense jeudi soir à l’issue d’une séance publique, où les avocats d’Ali Bongo et Jean Ping ont procédé à une dernière passe d’armes. suite de l'article sur Jeune Afrique