Le directeur général adjoint de cyber learning, N’guessan Francis Noël a organisé une conférence de formation sur le thème comment ‘‘mener une enquête cybercriminelle’’. Cette conférence a eu lieu le samedi 24 septembre 2016, à son siège à Abidjan-Plateau –Dokui.
«Notre objectif, c’est d’inviter les populations à faire la différence entre les cybercriminels et les escrocs du net, surnommés “brouteurs”,Hervé Y.Nyhl », a dit le conférencie. Qui a fait savoir que les TIC peuvent rendre “milliardaires” des jeunes qui se consacrent au développement d’applications et de contenus et non ceux qui en font un usage malveillant. « On peut se faire des milliards avec les Techniques de l’information et de la communication (Tic) et non avec des organes humains. Il faut éviter les amalgames. Ce n‘est pas avec des organes humains qu’on peut gagner de l’argent avec les Tic sur le net », a-t-il tranché. La cybercriminalité est de mieux en mieux combattue en Côte d’Ivoire grâce à l’identification des abonnés de téléphonie mobile et des cybercafés et à la collaboration de plus en plus forte entre la police et les services des Télecom.
Dans cette optique, il a indiqué que le partenariat conclu avec le géant Microsoft permettra d’accompagner la modernisation de l’état-civil, la pénétration informatique de l’Education nationale et l’employabilité des jeunes. Sur ce dernier point, N’guessan F. Noel a signifié qu’il était primordial d’organiser cette conférence de formation au profit de la jeunesse ivoirienne.
Par ailleurs, il a attiré l’attention des uns et des autres sur le fait que beaucoup de cybercriminels sont en train de sortir de leur milieu traditionnel pour aller vers les nouvelles générations d’applications mobiles partout où ils se retrouvent. Concernant les statistiques relativement aux différents pays, il a précisé par exemple que le taux des victimes ivoiriennes de ce fléau est en hausse de 30 %, alors que celles de nationalité française sont en baisse de 72 %. Grâce à une collaboration tant au plan national qu’international et des opérations de sensibilisation,
«Les enjeux sont beaucoup plus importants pour les Ivoiriens que pour les autres. L’arnaque est un phénomène de masse. Elle a même gagné les écoles. La réponse policière à la cybercriminalité ne suffit pas, il faut la sensibilisation, l’éducation de notre jeunesse », a-t-il fait savoir. Selon lui, les objectif fixés sont entre autres : attirer l’attention des autorités compétentes sur les startups qui luttent contre la cybercriminalité en Côte d’Ivoire, aider les populations victimes d’actions cybercriminelles, former les élèves et étudiants sur les avantages des Tic et de travailler avec les entreprises sur la sécurisation d’infrastructures. Pour lui, ses objectifs permettront, de renforcer les moyens technologiques, la coopération pour mieux retracer les criminels et accentuer la sensibilisation sur les nouvelles lois en vigueur, avec des peines allant jusqu’en 10 ans pour les criminels reconnus coupables. « Nous disposons des modules des programme de certification internationale de formations à des coûts accessibles à tous » a-t-il conclu.
T.Z
«Notre objectif, c’est d’inviter les populations à faire la différence entre les cybercriminels et les escrocs du net, surnommés “brouteurs”,Hervé Y.Nyhl », a dit le conférencie. Qui a fait savoir que les TIC peuvent rendre “milliardaires” des jeunes qui se consacrent au développement d’applications et de contenus et non ceux qui en font un usage malveillant. « On peut se faire des milliards avec les Techniques de l’information et de la communication (Tic) et non avec des organes humains. Il faut éviter les amalgames. Ce n‘est pas avec des organes humains qu’on peut gagner de l’argent avec les Tic sur le net », a-t-il tranché. La cybercriminalité est de mieux en mieux combattue en Côte d’Ivoire grâce à l’identification des abonnés de téléphonie mobile et des cybercafés et à la collaboration de plus en plus forte entre la police et les services des Télecom.
Dans cette optique, il a indiqué que le partenariat conclu avec le géant Microsoft permettra d’accompagner la modernisation de l’état-civil, la pénétration informatique de l’Education nationale et l’employabilité des jeunes. Sur ce dernier point, N’guessan F. Noel a signifié qu’il était primordial d’organiser cette conférence de formation au profit de la jeunesse ivoirienne.
Par ailleurs, il a attiré l’attention des uns et des autres sur le fait que beaucoup de cybercriminels sont en train de sortir de leur milieu traditionnel pour aller vers les nouvelles générations d’applications mobiles partout où ils se retrouvent. Concernant les statistiques relativement aux différents pays, il a précisé par exemple que le taux des victimes ivoiriennes de ce fléau est en hausse de 30 %, alors que celles de nationalité française sont en baisse de 72 %. Grâce à une collaboration tant au plan national qu’international et des opérations de sensibilisation,
«Les enjeux sont beaucoup plus importants pour les Ivoiriens que pour les autres. L’arnaque est un phénomène de masse. Elle a même gagné les écoles. La réponse policière à la cybercriminalité ne suffit pas, il faut la sensibilisation, l’éducation de notre jeunesse », a-t-il fait savoir. Selon lui, les objectif fixés sont entre autres : attirer l’attention des autorités compétentes sur les startups qui luttent contre la cybercriminalité en Côte d’Ivoire, aider les populations victimes d’actions cybercriminelles, former les élèves et étudiants sur les avantages des Tic et de travailler avec les entreprises sur la sécurisation d’infrastructures. Pour lui, ses objectifs permettront, de renforcer les moyens technologiques, la coopération pour mieux retracer les criminels et accentuer la sensibilisation sur les nouvelles lois en vigueur, avec des peines allant jusqu’en 10 ans pour les criminels reconnus coupables. « Nous disposons des modules des programme de certification internationale de formations à des coûts accessibles à tous » a-t-il conclu.
T.Z