Quelle approche adopter pour relancer le tourisme après son effondrement ? Une question à laquelle la Côte d’Ivoire semble répondre : « slowly but surely ».
« Je connais bien votre beau pays, j’y ai ouvert deux hôtels Mövenpick… » C’est ainsi que le ministre ivoirien du Tourisme, Roger Kacou, entame notre entrevue avec lui sur le stand de la Côte d’Ivoire à l’IFTM-Top Resa. C’est donc une longue expérience de l’hôtellerie et du tourisme (les chaînes hôtelières Intercontinental et Mövenpick, l’African Travel Association…) qu’apporte M. Kacou au tourisme ivoirien.
Le tourisme de Côte d’Ivoire a amorcé sa reprise ces dernières années, et affiche l’ambition d’atteindre les 2 millions de touristes internationaux, contre 1,5 million actuellement. Pour y parvenir, Roger Kacou insiste sur une démarche par étapes. « Après les turbulences vécues par le pays, il nous fallait une refonte du code du tourisme et de celui des investissements ainsi qu’une réhabilitation des sites touristiques avant de penser à la promotion, que nous entamons actuellement », explique-t-il. Ne pas mettre la charrue avant les bœufs semble le souci des autorités ivoiriennes ; une démarche qui débouche, par exemple, sur la réorganisation des réceptifs, la création de zones foncières touristiques et l’instauration du e-visa.
Du coup, le tourisme est porté par la dynamique générale du pays, qui réalise une croissance économique de 9% par an et devient une vraie destination d’affaires pour les investisseurs africains et internationaux. L’ambition de la Côte d’Ivoire est de faire passer le tourisme, à l’horizon 2020, à 7% du PIB contre seulement 4,8% actuellement.
Pour y parvenir, le pays mise sur un tourisme de niches comme le tourisme culturel, l’agrotourisme (la Côte d’Ivoire est le premier exportateur mondial de cacao et de noix de cajou), le tourisme religieux (basilique de Yamoussoukro) et le tourisme sportif.
Et pour mieux faire connaître la variété de son offre touristique, la Côte d’Ivoire accueille depuis cinq ans ses partenaires et professionnels au Salon International du Tourisme d’Abidjan (SITA), dont la 6e édition se tiendra au mois d’avril prochain.
« Je connais bien votre beau pays, j’y ai ouvert deux hôtels Mövenpick… » C’est ainsi que le ministre ivoirien du Tourisme, Roger Kacou, entame notre entrevue avec lui sur le stand de la Côte d’Ivoire à l’IFTM-Top Resa. C’est donc une longue expérience de l’hôtellerie et du tourisme (les chaînes hôtelières Intercontinental et Mövenpick, l’African Travel Association…) qu’apporte M. Kacou au tourisme ivoirien.
Le tourisme de Côte d’Ivoire a amorcé sa reprise ces dernières années, et affiche l’ambition d’atteindre les 2 millions de touristes internationaux, contre 1,5 million actuellement. Pour y parvenir, Roger Kacou insiste sur une démarche par étapes. « Après les turbulences vécues par le pays, il nous fallait une refonte du code du tourisme et de celui des investissements ainsi qu’une réhabilitation des sites touristiques avant de penser à la promotion, que nous entamons actuellement », explique-t-il. Ne pas mettre la charrue avant les bœufs semble le souci des autorités ivoiriennes ; une démarche qui débouche, par exemple, sur la réorganisation des réceptifs, la création de zones foncières touristiques et l’instauration du e-visa.
Du coup, le tourisme est porté par la dynamique générale du pays, qui réalise une croissance économique de 9% par an et devient une vraie destination d’affaires pour les investisseurs africains et internationaux. L’ambition de la Côte d’Ivoire est de faire passer le tourisme, à l’horizon 2020, à 7% du PIB contre seulement 4,8% actuellement.
Pour y parvenir, le pays mise sur un tourisme de niches comme le tourisme culturel, l’agrotourisme (la Côte d’Ivoire est le premier exportateur mondial de cacao et de noix de cajou), le tourisme religieux (basilique de Yamoussoukro) et le tourisme sportif.
Et pour mieux faire connaître la variété de son offre touristique, la Côte d’Ivoire accueille depuis cinq ans ses partenaires et professionnels au Salon International du Tourisme d’Abidjan (SITA), dont la 6e édition se tiendra au mois d’avril prochain.