Le Premier ministre ivoirien Daniel Kablan Duncan a révélé samedi que le prix d’achat bord champ du cacao dont la Côte d’Ivoire est le premier producteur mondial "représente au moins 60% du prix d’achat" sur le marché international, à l’ouverture des Journées nationales du cacao et du chocolat (JNCC), à Abidjan.
"Le prix garanti aux producteurs représente au moins 60% du prix CAF (Coût-Assurance-Fret), a déclaré M. Duncan, rappelant que ce prix d’achat bord champ a subi une "embellie" passant de "725 FCFA en 2012-2013 à 1000 FCFA/Kg lors de la campagne 2015-2016, soit une hausse de 37,93%"
Les revenus ruraux issus de cette filière ont subi une hausse de "49,6%, passant de 1.003 milliards FCFA en 2012 à 1.500 milliards FCFA en 2015", a ajouté le Premier ministre.
La Côte d’Ivoire qui "détient aujourd’hui plus de 40% de part du marché" mondial du cacao, envisage "maintenir cette position", à défaut de l’"améliorer", a-t-il dit
Le gouvernement ambitionne rester compétitif en relevant des défis notamment "la transformation du cacao, en passant de 3,3% à un taux minimum de 5%", afin de booster l’économie ivoirienne, a souhaité Kablan Duncan.
"La production (de cacao) est passée de 1.485.000 tonnes pour la campagne 2011-2012 à 1.795.852 tonnes en 2014-2015, soit une hausse de 20,85% sur la période considérée", a rappelé M. Duncan, ajoutant que ces performances sont liées aux réformes engagées par le gouvernement dans la filière.
Ces journées dont le thème est "agir ensemble pour relever les défis nouveaux de la filière cacao" devraient s’achever le 3 octobre.
LKO
"Le prix garanti aux producteurs représente au moins 60% du prix CAF (Coût-Assurance-Fret), a déclaré M. Duncan, rappelant que ce prix d’achat bord champ a subi une "embellie" passant de "725 FCFA en 2012-2013 à 1000 FCFA/Kg lors de la campagne 2015-2016, soit une hausse de 37,93%"
Les revenus ruraux issus de cette filière ont subi une hausse de "49,6%, passant de 1.003 milliards FCFA en 2012 à 1.500 milliards FCFA en 2015", a ajouté le Premier ministre.
La Côte d’Ivoire qui "détient aujourd’hui plus de 40% de part du marché" mondial du cacao, envisage "maintenir cette position", à défaut de l’"améliorer", a-t-il dit
Le gouvernement ambitionne rester compétitif en relevant des défis notamment "la transformation du cacao, en passant de 3,3% à un taux minimum de 5%", afin de booster l’économie ivoirienne, a souhaité Kablan Duncan.
"La production (de cacao) est passée de 1.485.000 tonnes pour la campagne 2011-2012 à 1.795.852 tonnes en 2014-2015, soit une hausse de 20,85% sur la période considérée", a rappelé M. Duncan, ajoutant que ces performances sont liées aux réformes engagées par le gouvernement dans la filière.
Ces journées dont le thème est "agir ensemble pour relever les défis nouveaux de la filière cacao" devraient s’achever le 3 octobre.
LKO