Les Eléphants de Côte d’Ivoire affrontent les Aigles du Mali, demain samedi 8 octobre 2016, au stade de la Paix de Bouaké. Ce sera en match comptant pour la première journée du dernier tour Eliminatoire de la Coupe du monde qui se disputera en Russie, en 2018.
« La victoire, quelle que soit la manière ». Tel devrait être le cri de guerre des Eléphants de Côte d’Ivoire, au moment d’affronter les Aigles du Mali, le samedi 8 octobre 2016, au stade de la Paix de Bouaké. Il s’agit de la première journée (Groupe C) du dernier tour qualificatif du Mondial Russie-2018. Pour les Eléphants, pas de place pour les calculs. Il faudra empocher les trois points de la victoire, peu importe la qualité du jeu. Une victoire, samedi, leur permettrait de prendre leur marque dans cette poule et faire respecter leur statut de leader. « Nous devons nous faire respecter chez nous. Une victoire nous lancera dans le groupe. On sait que le Mali viendra avec la ferme intention de nous bousculer sur nos bases. Mais, nous avons du répondant », a rassuré Michel Dussuyer, après l’entraînement du mardi 4 octobre 2016, au Centre technique national de Bingerville. Le disant, le technicien français sait de quoi il parle. En effet, les 23 Eléphants convoqués pour ce derby sous-régional, ont répondu présent et sont prêts à tout donner. Yao Kouassi Gervais “Gervinho“, nouveau capitaine de l’équipe, Jonathan Kodja (l’étoile montante), Eric Bally, Max Gradel, Thomas Touré, Gbohouo Sylvain et autres Séry Jean-Mickael sont présents. Serges Aurier, Wilfried Bony et Koné Lamine, Sérey Dié ont signé leur retour.
Bref, Michel Dussuyer aura toutes ses cartouches pour tenter “d’abattre“ les Aigles venus du Mali voisin. « Tous les joueurs convoqués sont présents. Ils sont bons pour le service. En tout cas, nous avons les armes pour battre le Mali. Il faut juste rester concentré », a ajouté le sélectionneur national. Pour Gervinho, la victoire est impérative. «Il n’y a pas de calcul à faire. Nous devons gagner pour marquer notre territoire. Nous jouons chez-nous. C’est le moment de commencer à prendre des points », a-t-il confié. Koné Lamine, le défenseur central de Sunderland, a également abordé dans le même sens. Pour lui, « la Côte d’Ivoire doit montrer qu’elle reste un monstre du football du continent, malgré le changement de génération de joueur. Nous devons tout faire pour éviter une mauvaise surprise ».
Le Mali à Bouaké sans certains cadres
Lamine Koné fait d’ailleurs bien de le dire. Puisque, le sélectionneur des Aigles du Mali, Alain Giresse, a un vieux compte à régler avec les Eléphants. La Côte d’Ivoire lui avait barré la route du Mondial 2014, alors qu’il était à la tête des Lions du Sénégal. Les Lions avaient été défaits par les Eléphants en match de barrage des éliminatoires (3-1 au match-aller, à Abidjan, et 1-1 au retour, au Maroc). Le technicien Français viendra donc à Bouaké avec la ferme intension de laver cet affront. Il se réjouissait d’ailleurs, récemment, des retraites internationales des ténors de la sélection précédente. « Cette équipe Ivoirienne n’est plus la même. Des jours comme Didier Drogba et Yaya Touré ne sont plus là. La Côte d’Ivoire ne fait plus peur. Nous sommes maintenant, sensiblement, au même niveau. En tout cas, nous ne nous laisserons pas faire », déclarerait-il en marge du regroupement des Aigles, en France. A Bouaké, le Mali sera amputé de trois joueurs- clés. Il s’agit d’Adama Traoré (milieu offensif de l’As Monaco) et des attaquants Abdoulaye Diaby (FC Bruges, en Belgique) et Bakary Sako (Crystal Palace, Angleterre). Tous ont déclaré forfait, à la dernière minute, pour blessure. Une situation qui va certainement pousser Alain Giresse à revoir ses plans.
En tout cas, dans ce derby, les Eléphants partent avec l’avantage psychologique. Car, en plus d’évoluer à domicile, ils ont l’avantage de n’avoir jamais perdu face au Mali, au niveau des séniors. Depuis 2008, les Eléphants ont enregistré 3 victoires et 1 nul face aux Aigles. Les Eléphants sont à Bouaké depuis hier jeudi 6 octobre 2016.
J H K
« La victoire, quelle que soit la manière ». Tel devrait être le cri de guerre des Eléphants de Côte d’Ivoire, au moment d’affronter les Aigles du Mali, le samedi 8 octobre 2016, au stade de la Paix de Bouaké. Il s’agit de la première journée (Groupe C) du dernier tour qualificatif du Mondial Russie-2018. Pour les Eléphants, pas de place pour les calculs. Il faudra empocher les trois points de la victoire, peu importe la qualité du jeu. Une victoire, samedi, leur permettrait de prendre leur marque dans cette poule et faire respecter leur statut de leader. « Nous devons nous faire respecter chez nous. Une victoire nous lancera dans le groupe. On sait que le Mali viendra avec la ferme intention de nous bousculer sur nos bases. Mais, nous avons du répondant », a rassuré Michel Dussuyer, après l’entraînement du mardi 4 octobre 2016, au Centre technique national de Bingerville. Le disant, le technicien français sait de quoi il parle. En effet, les 23 Eléphants convoqués pour ce derby sous-régional, ont répondu présent et sont prêts à tout donner. Yao Kouassi Gervais “Gervinho“, nouveau capitaine de l’équipe, Jonathan Kodja (l’étoile montante), Eric Bally, Max Gradel, Thomas Touré, Gbohouo Sylvain et autres Séry Jean-Mickael sont présents. Serges Aurier, Wilfried Bony et Koné Lamine, Sérey Dié ont signé leur retour.
Bref, Michel Dussuyer aura toutes ses cartouches pour tenter “d’abattre“ les Aigles venus du Mali voisin. « Tous les joueurs convoqués sont présents. Ils sont bons pour le service. En tout cas, nous avons les armes pour battre le Mali. Il faut juste rester concentré », a ajouté le sélectionneur national. Pour Gervinho, la victoire est impérative. «Il n’y a pas de calcul à faire. Nous devons gagner pour marquer notre territoire. Nous jouons chez-nous. C’est le moment de commencer à prendre des points », a-t-il confié. Koné Lamine, le défenseur central de Sunderland, a également abordé dans le même sens. Pour lui, « la Côte d’Ivoire doit montrer qu’elle reste un monstre du football du continent, malgré le changement de génération de joueur. Nous devons tout faire pour éviter une mauvaise surprise ».
Le Mali à Bouaké sans certains cadres
Lamine Koné fait d’ailleurs bien de le dire. Puisque, le sélectionneur des Aigles du Mali, Alain Giresse, a un vieux compte à régler avec les Eléphants. La Côte d’Ivoire lui avait barré la route du Mondial 2014, alors qu’il était à la tête des Lions du Sénégal. Les Lions avaient été défaits par les Eléphants en match de barrage des éliminatoires (3-1 au match-aller, à Abidjan, et 1-1 au retour, au Maroc). Le technicien Français viendra donc à Bouaké avec la ferme intension de laver cet affront. Il se réjouissait d’ailleurs, récemment, des retraites internationales des ténors de la sélection précédente. « Cette équipe Ivoirienne n’est plus la même. Des jours comme Didier Drogba et Yaya Touré ne sont plus là. La Côte d’Ivoire ne fait plus peur. Nous sommes maintenant, sensiblement, au même niveau. En tout cas, nous ne nous laisserons pas faire », déclarerait-il en marge du regroupement des Aigles, en France. A Bouaké, le Mali sera amputé de trois joueurs- clés. Il s’agit d’Adama Traoré (milieu offensif de l’As Monaco) et des attaquants Abdoulaye Diaby (FC Bruges, en Belgique) et Bakary Sako (Crystal Palace, Angleterre). Tous ont déclaré forfait, à la dernière minute, pour blessure. Une situation qui va certainement pousser Alain Giresse à revoir ses plans.
En tout cas, dans ce derby, les Eléphants partent avec l’avantage psychologique. Car, en plus d’évoluer à domicile, ils ont l’avantage de n’avoir jamais perdu face au Mali, au niveau des séniors. Depuis 2008, les Eléphants ont enregistré 3 victoires et 1 nul face aux Aigles. Les Eléphants sont à Bouaké depuis hier jeudi 6 octobre 2016.
J H K
