Abuja (Nigeria) - Le Parlement de la CEDEAO a déclaré qu’il va examiner les questions relatives aux problèmes de sécurité dans la sous-région au cours de sa session extraordinaire prévue en janvier 2017.
Le Président du Parlement, M. Moustapha Cissé Lo, a fait la déclaration au terme de la deuxième session ordinaire des Parlements de la communauté qui s’était tenue à Abuja.
M. Lo a affirmé que le Parlement a joué son rôle dans la formulation des recommandations pour relever les défis de sécurité qui ont frappé la sous-région.
Il a ajouté que les députés sous-régionaux ont décidé de se réunir en janvier pour réfléchir sur les questions de "sécurité dans nos communautés et déterminer quel agenda mettre en place pou interpeller les pouvoirs exécutifs et les chefs d’État".
Nous pouvons soumettre nos recommandations aux chefs d’Etat et de gouvernement pour que tout le monde participe aux réalités de notre région, a-t-il ajouté.
Sur la question de la non mise en œuvre des protocoles communautaires, il a répondu que le Parlement ne peut que sensibiliser les gouvernements des Etats membres.
Il a par ailleurs exhorté les médias à communiquer les efforts déployés en faveur de l’intégration et le développement dans la sous-région.
Nous allons essayer d’améliorer la communication et ce que nous pouvons faire c’est de promouvoir nos performances à travers vous (la presse) afin que vous puissiez nous aider à bien faire notre travail, a-t-il souligné.
Le représentant de la délégation malienne, M. Yaya Sangaré, a pour sa part appelé la CEDEAO à s’approprier le processus de paix au Mali.
Sangaré a exhorté l'organisation sous régionale à former une force de défense de la communauté afin de prendre en charge la gestion de la sécurité au Mali.
MM/GIK/nbd/od/AP
Le Président du Parlement, M. Moustapha Cissé Lo, a fait la déclaration au terme de la deuxième session ordinaire des Parlements de la communauté qui s’était tenue à Abuja.
M. Lo a affirmé que le Parlement a joué son rôle dans la formulation des recommandations pour relever les défis de sécurité qui ont frappé la sous-région.
Il a ajouté que les députés sous-régionaux ont décidé de se réunir en janvier pour réfléchir sur les questions de "sécurité dans nos communautés et déterminer quel agenda mettre en place pou interpeller les pouvoirs exécutifs et les chefs d’État".
Nous pouvons soumettre nos recommandations aux chefs d’Etat et de gouvernement pour que tout le monde participe aux réalités de notre région, a-t-il ajouté.
Sur la question de la non mise en œuvre des protocoles communautaires, il a répondu que le Parlement ne peut que sensibiliser les gouvernements des Etats membres.
Il a par ailleurs exhorté les médias à communiquer les efforts déployés en faveur de l’intégration et le développement dans la sous-région.
Nous allons essayer d’améliorer la communication et ce que nous pouvons faire c’est de promouvoir nos performances à travers vous (la presse) afin que vous puissiez nous aider à bien faire notre travail, a-t-il souligné.
Le représentant de la délégation malienne, M. Yaya Sangaré, a pour sa part appelé la CEDEAO à s’approprier le processus de paix au Mali.
Sangaré a exhorté l'organisation sous régionale à former une force de défense de la communauté afin de prendre en charge la gestion de la sécurité au Mali.
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