Les Chefs d'Etats et de gouvernement de l'Union Africaine (UA) ont adopté samedi à Lomé, lors d'un sommet extraordinaire, une Charte sur la sécurité et la sûreté maritimes et le développement en Afrique.
L'objectif de ce document juridique adopté par les chefs d'Etats et de gouvernement de l'UA, est entre autres, de prévenir et réprimer la criminalité nationale et transnationale notamment le terrorisme, la piraterie, les vols à main armée à l'encontre des navires, le trafic de drogues, le trafic de migrants, la traite des personnes et les trafics illicites connexes de tous genres en mer, ainsi que la pêche illicite, non déclarée et non réglementées.
Il est également destiné à protéger l'environnement en général et l'environnement marin dans l'espace des Etats côtiers et insulaires, en particulier, mais aussi à promouvoir et renforcer la coopération dans les domaines de la sensibilisation au domaine maritime, la prévention par l'alerte précoce et la lutte contre la piraterie.
Il permettra aussi de créer des institutions nationales, régionales et continentales appropriées et assurer la mise en œuvre de politiques appropriées susceptibles de promouvoir la sûreté et la sécurité en mer.
Selon ce même document, chaque Etat partie s'engage à poursuivre leurs efforts en prenant des mesures appropriées pour créer des emplois productifs, réduire la pauvreté et éliminer l'extrême pauvreté, à encourager la sensibilisation aux questions maritimes afin de créer les meilleures conditions de vie et de renforcer la cohésion sociale par la mise en œuvre d'une politique juste, inclusive et équitable visant à résoudre les problèmes socioéconomiques.
Selon le même instrument juridique, chaque Etat partie doit également s'engager à promouvoir la création d'emplois le long des côtes, en particulier en codifiant et en assurant la promotion de la pêche artisanale par la formation des acteurs du secteur, en encourageant la transformation locale des produits halieutiques et en facilitant leur commercialisation aux niveaux national, sous-régional et international.
Estimant que l'adoption de cette charte est le premier pas vers la lutte efficace contre la piraterie maritime dans les océans et mers du continent africain, le président en exercice de l'Union africaine, le président tchadien Idriss Déby Itno a invité ses collègues à sa ratification dans un bref délai.
"L'aboutissement heureux du long et laborieux processus ayant conduit à l'adoption de la Charte de Lomé n'est qu'un premier pas d'une nouvelle étape dans sa mise en œuvre. Notre volonté commune de nous doter de ce précieux instrument juridique devrait aussi se traduire par notre détermination à le rendre applicable et opérationnel à travers sa ratification. Dans cette perspective, je vous invite à faire de l'entrée en vigueur de la charte, un objectif primordial", a-t-il martelé.
"Nous nous félicitons de l'adoption et la signature de la charte sur la sécurité et la sûreté maritimes et le développement en Afrique", a déclaré le président congolais, Dénis Sassou N'Guessou.
L'objectif de ce document juridique adopté par les chefs d'Etats et de gouvernement de l'UA, est entre autres, de prévenir et réprimer la criminalité nationale et transnationale notamment le terrorisme, la piraterie, les vols à main armée à l'encontre des navires, le trafic de drogues, le trafic de migrants, la traite des personnes et les trafics illicites connexes de tous genres en mer, ainsi que la pêche illicite, non déclarée et non réglementées.
Il est également destiné à protéger l'environnement en général et l'environnement marin dans l'espace des Etats côtiers et insulaires, en particulier, mais aussi à promouvoir et renforcer la coopération dans les domaines de la sensibilisation au domaine maritime, la prévention par l'alerte précoce et la lutte contre la piraterie.
Il permettra aussi de créer des institutions nationales, régionales et continentales appropriées et assurer la mise en œuvre de politiques appropriées susceptibles de promouvoir la sûreté et la sécurité en mer.
Selon ce même document, chaque Etat partie s'engage à poursuivre leurs efforts en prenant des mesures appropriées pour créer des emplois productifs, réduire la pauvreté et éliminer l'extrême pauvreté, à encourager la sensibilisation aux questions maritimes afin de créer les meilleures conditions de vie et de renforcer la cohésion sociale par la mise en œuvre d'une politique juste, inclusive et équitable visant à résoudre les problèmes socioéconomiques.
Selon le même instrument juridique, chaque Etat partie doit également s'engager à promouvoir la création d'emplois le long des côtes, en particulier en codifiant et en assurant la promotion de la pêche artisanale par la formation des acteurs du secteur, en encourageant la transformation locale des produits halieutiques et en facilitant leur commercialisation aux niveaux national, sous-régional et international.
Estimant que l'adoption de cette charte est le premier pas vers la lutte efficace contre la piraterie maritime dans les océans et mers du continent africain, le président en exercice de l'Union africaine, le président tchadien Idriss Déby Itno a invité ses collègues à sa ratification dans un bref délai.
"L'aboutissement heureux du long et laborieux processus ayant conduit à l'adoption de la Charte de Lomé n'est qu'un premier pas d'une nouvelle étape dans sa mise en œuvre. Notre volonté commune de nous doter de ce précieux instrument juridique devrait aussi se traduire par notre détermination à le rendre applicable et opérationnel à travers sa ratification. Dans cette perspective, je vous invite à faire de l'entrée en vigueur de la charte, un objectif primordial", a-t-il martelé.
"Nous nous félicitons de l'adoption et la signature de la charte sur la sécurité et la sûreté maritimes et le développement en Afrique", a déclaré le président congolais, Dénis Sassou N'Guessou.