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Elles ont leur mot à dire dans les instances de décisions. Elles veulent bien le dire, avec les termes qu’il faut et au poste approprié en vue de soulager les maux de leurs concitoyens. Le coaching des femmes candidates aux futures échéances électorales a débuté officiellement ce mercredi 19 octobre 2016 à Abidjan, au siège de la Chaire Unesco eau, femmes et pouvoir de décisions de Côte d’Ivoire. Cette activité s’inscrit dans les actions pour le relèvement du taux de représentativité des femmes dans les instances de prise de décisions initiées par le ministère de la Promotion de la Femme, de la famille et de la protection de l’enfant en collaboration avec le Compendium des compétences féminines (COCOFCI), la Chaire Unesco eau, femmes et pouvoir de décisions, l’appui financier de ONUFEMMES, et piloté par l’Ong Leadafricaines.
Le coaching va s’illustrer, entre autres, par un suivi-encadrement personnalisé des femmes candidates pendant un mois et demi, un encadrement personnalisé par les coaches pendant trois jours d’affilée, la diffusion d’un recueil d’expériences et de bonnes pratiques.
Anna Bailly-Traoré, Chef de cabinet a, au nom de la ministre de la Promotion de la Femme, de la famille et de la protection de l’enfant, Euphrasie Kouassi Yao, félicité les participantes au nombre de 200, qui ont décidé de s’engager avec son département à travailler à l’amélioration du taux de représentation des femmes dans les instances de gouvernance électives. Cette formation, a-t-elle fait remarquer, concerne « les femmes candidates retenues pour les échéances électorales ». Et « il s’agit de les accompagner de façon particulière afin qu’elles fassent la différence et soient vainqueurs au terme des élections. »
« Une nation où les femmes sont exclues ne saurait prospérer», a indiqué pour sa part Marie-Gorreti Nduwayo, représentante résidente de ONUFEMMES. Pour elle, le coaching des femmes leaders est le reflet de l’engagement à les voir participer pleinement à la gouvernance de ce pays sur la voie de l’émergence. Aussi, a-t-elle tenu à lever toute équivoque quant aux enjeux de ce projet. « Il ne s’agit jamais d’effacer la mémoire des hommes ou de renverser les rapports de domination mais bien d’établir un équilibre, un partenariat gagnant-gagnant, dans lequel femmes et hommes sont épanouis et restaurés », a-t-elle précisé.
Le coaching des femmes candidates, à en croire Georgette Zamblé, présidente de l’Ong Leadafricaines, va « contribuer à donner de la visibilité et de la crédibilité aux femmes de sorte que l’opinion publique et les autorités politiques soient influencées en faveur de la gouvernance par les femmes. »
Il y aura une session d’évaluation collective le 29 novembre prochain en vue de s’assurer que les femmes sont vraiment prêtes à affronter le public et les encourager.
D.Tagro
Le coaching va s’illustrer, entre autres, par un suivi-encadrement personnalisé des femmes candidates pendant un mois et demi, un encadrement personnalisé par les coaches pendant trois jours d’affilée, la diffusion d’un recueil d’expériences et de bonnes pratiques.
Anna Bailly-Traoré, Chef de cabinet a, au nom de la ministre de la Promotion de la Femme, de la famille et de la protection de l’enfant, Euphrasie Kouassi Yao, félicité les participantes au nombre de 200, qui ont décidé de s’engager avec son département à travailler à l’amélioration du taux de représentation des femmes dans les instances de gouvernance électives. Cette formation, a-t-elle fait remarquer, concerne « les femmes candidates retenues pour les échéances électorales ». Et « il s’agit de les accompagner de façon particulière afin qu’elles fassent la différence et soient vainqueurs au terme des élections. »
« Une nation où les femmes sont exclues ne saurait prospérer», a indiqué pour sa part Marie-Gorreti Nduwayo, représentante résidente de ONUFEMMES. Pour elle, le coaching des femmes leaders est le reflet de l’engagement à les voir participer pleinement à la gouvernance de ce pays sur la voie de l’émergence. Aussi, a-t-elle tenu à lever toute équivoque quant aux enjeux de ce projet. « Il ne s’agit jamais d’effacer la mémoire des hommes ou de renverser les rapports de domination mais bien d’établir un équilibre, un partenariat gagnant-gagnant, dans lequel femmes et hommes sont épanouis et restaurés », a-t-elle précisé.
Le coaching des femmes candidates, à en croire Georgette Zamblé, présidente de l’Ong Leadafricaines, va « contribuer à donner de la visibilité et de la crédibilité aux femmes de sorte que l’opinion publique et les autorités politiques soient influencées en faveur de la gouvernance par les femmes. »
Il y aura une session d’évaluation collective le 29 novembre prochain en vue de s’assurer que les femmes sont vraiment prêtes à affronter le public et les encourager.
D.Tagro
