Les Premiers ministres ivoirien et français, Daniel Kablan Duncan et Manuel Valls ont inauguré, lundi, une usine de production d'eau potable à Adonkoi (Anyama) dans la périphérie nord d'Abidjan, augmentant ainsi la capacité d’alimentation en eau de la capitale économique ivoirienne de 5000m3/J, notamment pour les secteurs d’Abobo N’Dotré, Anyama et Songon.
Manuel Valls a symboliquement ouvert les vannes de cette station de traitement d’eau dont les travaux de réalisation ont été financés par l’Agence française de développement (AFD) pour un coût de 29 milliards CFA dans le cadre du contrat de désendettement et développement (C2D).
Cette infrastructure permettra non seulement de répondre aux besoins de la population en eau potable, d’assurer une distribution d’eau de qualité et d’anticiper sur la croissance future de la ville d’Abidjan et de ses banlieues, mais représente aussi "la preuve de l’engagement" de la France envers le peuple ivoirien, a traduit à l'occasion, le chef du gouvernement français.
Kablan Duncan a renchéri, affirmant qu'elle (usine de production d'eau) répond également au souci d’améliorer et de rééquilibrer la répartition des prélèvements effectués sur la nappe phréatique à Abidjan avec la mobilisation de nouvelles ressources.
Il s’agit de "matérialiser l’objectif stratégique du chef de l’Etat de fournir aux populations une eau de qualité et en quantité suffisante sur l’ensemble du territoire", a jouté le ministre des Infrastructures Economiques, Patrick Achi.
Cette usine de traitement dont les travaux de construction ont duré 18 mois comprend 15 forages à grand diamètre, 40 km de canalisation du champ captant de Songon au château d’eau de N’Dotré, d’une station de traitement de 2100m3/h à Adonkoi, de deux bâches de 5000m3 et d‘une salle de reprise.
tad/ask
Manuel Valls a symboliquement ouvert les vannes de cette station de traitement d’eau dont les travaux de réalisation ont été financés par l’Agence française de développement (AFD) pour un coût de 29 milliards CFA dans le cadre du contrat de désendettement et développement (C2D).
Cette infrastructure permettra non seulement de répondre aux besoins de la population en eau potable, d’assurer une distribution d’eau de qualité et d’anticiper sur la croissance future de la ville d’Abidjan et de ses banlieues, mais représente aussi "la preuve de l’engagement" de la France envers le peuple ivoirien, a traduit à l'occasion, le chef du gouvernement français.
Kablan Duncan a renchéri, affirmant qu'elle (usine de production d'eau) répond également au souci d’améliorer et de rééquilibrer la répartition des prélèvements effectués sur la nappe phréatique à Abidjan avec la mobilisation de nouvelles ressources.
Il s’agit de "matérialiser l’objectif stratégique du chef de l’Etat de fournir aux populations une eau de qualité et en quantité suffisante sur l’ensemble du territoire", a jouté le ministre des Infrastructures Economiques, Patrick Achi.
Cette usine de traitement dont les travaux de construction ont duré 18 mois comprend 15 forages à grand diamètre, 40 km de canalisation du champ captant de Songon au château d’eau de N’Dotré, d’une station de traitement de 2100m3/h à Adonkoi, de deux bâches de 5000m3 et d‘une salle de reprise.
tad/ask