La deuxième réunion annuelle statutaire 2016 du comité Directeur de l’organisation du corridor Abidjan-Lagos (l’OCAL), s’est ouverte ce jeudi 10 novembre à Abidjan.
Les partenaires techniques et financiers de la lutte contre les fléaux qui minent cette zone du continent qui concerne 5 pays que sont la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Togo, le Bénin et le Nigeria, se sont entretenus pour élaborer des stratégies communes de prévention et de lutte à toute situation qui concerne cette zone. Notamment la lutte contre le VIH-SIDA.
En en croire les responsables, l’OCAL est une zone stratégique du fait que 47 millions de personnes transitent chaque année à ce corridor avec une population résidente de 30 millions d’habitants qui représente 63% des activités économique de la CEDEAO. C’est pourquoi, la commission de la CEDEAO a décidé d’élargir son champs de coopération avec l’OCAL pour ainsi fournir aux États membres et à la commission de la CEDEAO, les données relatives à l’entrave de la circulation des personnes et des biens au corridor Abidjan-Lagos.
Il s’agit entre autre de la facilitation du commerce et du transport dans cette zone.
Monsieur DeSuza, representant le président de la commission de la CEDEAO, a renouvelé l’engagement de la commission, à travailler avec l’OCAL pour la réalisation des ses missions pour l’intérêt des populations.
L’OCAL, en dehors de l’approche d’intégration sous-régionale, est aussi une muraille contre les maladies. La maitrise des affres du virus Ebola montre l’impact de son travail.
Dans cette synergie d’action avec les États et le soutien des partenaires financiers, la reduction du taux de prélence du VIH SIDA à l’horizon 2030 sera une realité. C’est ainsi qu’avant d’ouvrir les travaux de cette rencontre qui vont s’achever le 11 novembre, la Ministre de la santé et de l’hygiène publique, Raymonde Goudou Coffi, a invité les représentants des États respectifs à poursuivre le plaidoyer auprès de leur gouvernement pour apporter une attention particulière aux activités de l’OCAL qui vient en complément à la mise en oeuvre des différents programmes des pays.
DA
Les partenaires techniques et financiers de la lutte contre les fléaux qui minent cette zone du continent qui concerne 5 pays que sont la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Togo, le Bénin et le Nigeria, se sont entretenus pour élaborer des stratégies communes de prévention et de lutte à toute situation qui concerne cette zone. Notamment la lutte contre le VIH-SIDA.
En en croire les responsables, l’OCAL est une zone stratégique du fait que 47 millions de personnes transitent chaque année à ce corridor avec une population résidente de 30 millions d’habitants qui représente 63% des activités économique de la CEDEAO. C’est pourquoi, la commission de la CEDEAO a décidé d’élargir son champs de coopération avec l’OCAL pour ainsi fournir aux États membres et à la commission de la CEDEAO, les données relatives à l’entrave de la circulation des personnes et des biens au corridor Abidjan-Lagos.
Il s’agit entre autre de la facilitation du commerce et du transport dans cette zone.
Monsieur DeSuza, representant le président de la commission de la CEDEAO, a renouvelé l’engagement de la commission, à travailler avec l’OCAL pour la réalisation des ses missions pour l’intérêt des populations.
L’OCAL, en dehors de l’approche d’intégration sous-régionale, est aussi une muraille contre les maladies. La maitrise des affres du virus Ebola montre l’impact de son travail.
Dans cette synergie d’action avec les États et le soutien des partenaires financiers, la reduction du taux de prélence du VIH SIDA à l’horizon 2030 sera une realité. C’est ainsi qu’avant d’ouvrir les travaux de cette rencontre qui vont s’achever le 11 novembre, la Ministre de la santé et de l’hygiène publique, Raymonde Goudou Coffi, a invité les représentants des États respectifs à poursuivre le plaidoyer auprès de leur gouvernement pour apporter une attention particulière aux activités de l’OCAL qui vient en complément à la mise en oeuvre des différents programmes des pays.
DA