Le Président de la République, S.E.M. Alassane OUATTARA, a reçu, ce vendredi 11 novembre 2016, au Palais de la Présidence de la République, le Rapport annuel 2015 de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDHCI) sur l’état des droits de l’Homme en Côte d’Ivoire.
Intervenant à l’occasion de cette cérémonie, la Présidente de la CNDHCI, Mme Namizata SANGARE, a indiqué que son Organisation sacrifie, sous la haute autorité du Chef de l’Etat, à une condition et à une exigence de sa loi habilitante, qui est de remettre officiellement au Président de la République son Rapport annuel sur l’état des droits de l’Homme dans notre pays.
Elle a ensuite exprimé toute son admiration au Président Alassane OUATTARA pour sa brillante réélection à la magistrature suprême ainsi que pour l’avènement de la 3ème République qui consacre le début d’une nouvelle ère pour notre pays.
La Présidente de la CNDHCI a, en outre, rendu un vibrant hommage au Chef de l’Etat pour la stabilité retrouvée de notre beau pays et pour son engagement personnel dans le renforcement de l’état de droit et du respect des droits de l’homme. Cette stabilité se traduit également, selon elle, par le retour gagnant de la Côte d’Ivoire sur la scène internationale depuis le 1er mandat du Président Alassane OUATTARA. Notre pays, désormais, a-t-elle ajouté, a une voix admise, estimée et qui compte au Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies où il siège depuis trois ans.
Evoquant les grandes articulations du Rapport annuel 2015 de la CNDHCI, Mme Namizata SANGARE a indiqué que ce Rapport comporte trois parties, à savoir l’état des droits de l’Homme au cours de l’année 2015, les activités menées par la CNDHCI et le suivi des recommandations et engagements pris par notre pays et enfin les perspectives et les recommandations.
Sur l’état des droits de l’Homme, ce Rapport fait, selon elle, une analyse des thématiques autour des droits civils et politiques, des droits socio-économiques et culturels et des droits dits de solidarité.
S’agissant des activités menées au cours de l’année 2015, Mme Namizata SANGARE a indiqué que la CNDHCI a mené des activités de promotion et des activités de protection et de défense des droits de l’Homme. Elle s’est, par ailleurs, félicitée de la mise en oeuvre par la Côte d’Ivoire de ses engagements découlant des traités auxquels elle est partie en matière de droits de l’Homme. Il s’agit notamment de l’adoption du nouveau code du travail, de la loi instituant l’école obligatoire et des lois modifiant le code pénal et le code de procédure pénale.
Au terme du présent Rapport, la CNDHCI a adressé, selon sa Présidente, des recommandations au Gouvernement, aux Partenaires de l’Etat de Côte d’Ivoire, aux Organisations de la Société civile, aux Médias et aux Partis politiques.
Pour terminer, la Présidente de la CNDHCI a sollicité, pour son Organisation, une nouvelle armature institutionnelle et un accroissement des ressources pour lui permettre de faire face à ses nouveaux défis, notamment la gestion de la quasitotalité des activités de la division des droits de l’Homme de l’ONUCI.
Le Président de la République a, pour sa part, félicité la Présidente et tous les membres de la CNDHCI pour l’important travail accompli et la qualité du Rapport produit.
Il a ensuite relevé l’importance que le Gouvernement accorde aux analyses et aux recommandations de la CNDHCI, avant de se féliciter de l’engagement de cette Commission dans le processus d’élaboration de la Constitution de la 3e République.
Cette Constitution apporte, selon lui, une plus grande clarification de notre attachement aux droits de l’Homme et aux libertés individuelles et collectives.
Le Chef de l’Etat a, en outre, indiqué avoir noté les observations de la Commission Nationale des Droits de l’Homme sur l’élection présidentielle de 2015 relativement au respect des droits civils et politiques et à l’amélioration de la situation sécuritaire.
Il s’est dit préoccupé, tout comme la CNDHCI, par le phénomène des coupeurs de route, qui est une résultante de la crise que notre pays a vécue durant 10 années. Il a rassuré ses concitoyens sur la volonté du Gouvernement de mettre fin à ce phénomène.
S’agissant de la question des grèves, le Président de la République a indiqué être en phase avec la CNDHCI pour constater que lorsque ces grèves sont intempestives et illégales, elles constituent une violation de nos droits. C’est pourquoi, il en a appelé au sens des responsabilités des grévistes qui devront respecter les procédures en vigueur en matière de droit de grève.
En ce qui concerne les problèmes résultant du déguerpissement des quartiers précaires, le Chef de l’Etat a dit prendre bonne note des préoccupations de la CNDHCI. Toutefois, a-t-il ajouté, l’objectif du Gouvernement est d’oeuvrer pour la préservation de la vie des Ivoiriens.
Pour terminer, le Chef de l’Etat a rassuré les membres de la CNDHCI sur la volonté du Gouvernement de mettre les moyens à la disposition de leur Organisation afin de lui permettre de remplir convenablement sa mission et de veiller à ce que notre pays continue de faire des progrès importants dans le domaine de la protection des droits de l’Homme.
Intervenant à l’occasion de cette cérémonie, la Présidente de la CNDHCI, Mme Namizata SANGARE, a indiqué que son Organisation sacrifie, sous la haute autorité du Chef de l’Etat, à une condition et à une exigence de sa loi habilitante, qui est de remettre officiellement au Président de la République son Rapport annuel sur l’état des droits de l’Homme dans notre pays.
Elle a ensuite exprimé toute son admiration au Président Alassane OUATTARA pour sa brillante réélection à la magistrature suprême ainsi que pour l’avènement de la 3ème République qui consacre le début d’une nouvelle ère pour notre pays.
La Présidente de la CNDHCI a, en outre, rendu un vibrant hommage au Chef de l’Etat pour la stabilité retrouvée de notre beau pays et pour son engagement personnel dans le renforcement de l’état de droit et du respect des droits de l’homme. Cette stabilité se traduit également, selon elle, par le retour gagnant de la Côte d’Ivoire sur la scène internationale depuis le 1er mandat du Président Alassane OUATTARA. Notre pays, désormais, a-t-elle ajouté, a une voix admise, estimée et qui compte au Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies où il siège depuis trois ans.
Evoquant les grandes articulations du Rapport annuel 2015 de la CNDHCI, Mme Namizata SANGARE a indiqué que ce Rapport comporte trois parties, à savoir l’état des droits de l’Homme au cours de l’année 2015, les activités menées par la CNDHCI et le suivi des recommandations et engagements pris par notre pays et enfin les perspectives et les recommandations.
Sur l’état des droits de l’Homme, ce Rapport fait, selon elle, une analyse des thématiques autour des droits civils et politiques, des droits socio-économiques et culturels et des droits dits de solidarité.
S’agissant des activités menées au cours de l’année 2015, Mme Namizata SANGARE a indiqué que la CNDHCI a mené des activités de promotion et des activités de protection et de défense des droits de l’Homme. Elle s’est, par ailleurs, félicitée de la mise en oeuvre par la Côte d’Ivoire de ses engagements découlant des traités auxquels elle est partie en matière de droits de l’Homme. Il s’agit notamment de l’adoption du nouveau code du travail, de la loi instituant l’école obligatoire et des lois modifiant le code pénal et le code de procédure pénale.
Au terme du présent Rapport, la CNDHCI a adressé, selon sa Présidente, des recommandations au Gouvernement, aux Partenaires de l’Etat de Côte d’Ivoire, aux Organisations de la Société civile, aux Médias et aux Partis politiques.
Pour terminer, la Présidente de la CNDHCI a sollicité, pour son Organisation, une nouvelle armature institutionnelle et un accroissement des ressources pour lui permettre de faire face à ses nouveaux défis, notamment la gestion de la quasitotalité des activités de la division des droits de l’Homme de l’ONUCI.
Le Président de la République a, pour sa part, félicité la Présidente et tous les membres de la CNDHCI pour l’important travail accompli et la qualité du Rapport produit.
Il a ensuite relevé l’importance que le Gouvernement accorde aux analyses et aux recommandations de la CNDHCI, avant de se féliciter de l’engagement de cette Commission dans le processus d’élaboration de la Constitution de la 3e République.
Cette Constitution apporte, selon lui, une plus grande clarification de notre attachement aux droits de l’Homme et aux libertés individuelles et collectives.
Le Chef de l’Etat a, en outre, indiqué avoir noté les observations de la Commission Nationale des Droits de l’Homme sur l’élection présidentielle de 2015 relativement au respect des droits civils et politiques et à l’amélioration de la situation sécuritaire.
Il s’est dit préoccupé, tout comme la CNDHCI, par le phénomène des coupeurs de route, qui est une résultante de la crise que notre pays a vécue durant 10 années. Il a rassuré ses concitoyens sur la volonté du Gouvernement de mettre fin à ce phénomène.
S’agissant de la question des grèves, le Président de la République a indiqué être en phase avec la CNDHCI pour constater que lorsque ces grèves sont intempestives et illégales, elles constituent une violation de nos droits. C’est pourquoi, il en a appelé au sens des responsabilités des grévistes qui devront respecter les procédures en vigueur en matière de droit de grève.
En ce qui concerne les problèmes résultant du déguerpissement des quartiers précaires, le Chef de l’Etat a dit prendre bonne note des préoccupations de la CNDHCI. Toutefois, a-t-il ajouté, l’objectif du Gouvernement est d’oeuvrer pour la préservation de la vie des Ivoiriens.
Pour terminer, le Chef de l’Etat a rassuré les membres de la CNDHCI sur la volonté du Gouvernement de mettre les moyens à la disposition de leur Organisation afin de lui permettre de remplir convenablement sa mission et de veiller à ce que notre pays continue de faire des progrès importants dans le domaine de la protection des droits de l’Homme.