Virtuose de la percussion, Oswal Kouamé (OK), considéré par bon nombres d’observateurs comme l’un des meilleurs percussionnistes de la planète, est attendu à Abidjan à partir du 1er décembre pour une série de spectacles dans la capitale économique ivoirienne et dans certaines villes de l’intérieur du pays.
Installé au Japon depuis 2012, le consultant chez YAMAHA, l’enseignant de percussion et d’expression corporelle dans les universités de Tokyo, Musachino et Kumamoto, l’éducateur d’art et rythme dans plusieurs écoles pour enfants et personnes handicapées, parcourt le monde entier, partageant de grandes scènes avec des icônes telles que Lokoua Kanza, Sadao Watanabé, Youssou N’Dour, Angelique Kidjo, Tiken Jah, Alpha Blondy, Pap Marfine, Lionel Loké, l’Orchestre Internationale de l’Université de Berkley « Native Groove ». Oswal Kouamé participe même à des ateliers de musique aux cotés d’artistes tels que Richard Bona et bien d’autres.
Le concepteur et initiateur de « Tout est Musique » a la particularité de produire des sons avec les objets de tous les jours, tels les ustensiles de cuisine, le mortier, et pilon, la casserole, le tamis et bien d’autre. Mais aussi avec des éléments de la nature comme l’eau, les branches d’arbre, le sable, les gravillons etc.
L’amour d’OK pour la chose musicale va le pousser dès l’âge de sept ans à engager son apprentissage pour les percussions. Encore très jeune, il va éblouir plus d’un sur de grandes scènes d’Afrique et d’Europe. Très tôt commencent ses collaborations avec des ensembles artistiques tels que le Village KIYI, AFROZIK et l’Ensemble SOTEKA. Il commence à nourrir son amour pour les instruments de musique et les rythmes traditionnels. C’est dans sa quête de savoir dans les différentes régions du pays qu’il est repéré par feu, le Professeur Niangoran BOUAH, le fondateur de la Drumologie, la science qui étudie le langage des tambours. Il apprendra alors pendant trois années aux côtés du maître, l’interprétation du tam-tam parleur. Ses études sont sanctionnées par une formation en musique et musicologie.
c’est toujours avec son drapeau orange, blanc et vert et cette phrase à la bouche : « I am from Côte d’Ivoire ! », que le jeune prodige de la percussion parcourt les scènes du monde.
Il ambitionne créer dès 2017 au Japon, le « N’ZASSA Festival » pour le brassage des rythmes et musiques du monde.
Atapointe
Installé au Japon depuis 2012, le consultant chez YAMAHA, l’enseignant de percussion et d’expression corporelle dans les universités de Tokyo, Musachino et Kumamoto, l’éducateur d’art et rythme dans plusieurs écoles pour enfants et personnes handicapées, parcourt le monde entier, partageant de grandes scènes avec des icônes telles que Lokoua Kanza, Sadao Watanabé, Youssou N’Dour, Angelique Kidjo, Tiken Jah, Alpha Blondy, Pap Marfine, Lionel Loké, l’Orchestre Internationale de l’Université de Berkley « Native Groove ». Oswal Kouamé participe même à des ateliers de musique aux cotés d’artistes tels que Richard Bona et bien d’autres.
Le concepteur et initiateur de « Tout est Musique » a la particularité de produire des sons avec les objets de tous les jours, tels les ustensiles de cuisine, le mortier, et pilon, la casserole, le tamis et bien d’autre. Mais aussi avec des éléments de la nature comme l’eau, les branches d’arbre, le sable, les gravillons etc.
L’amour d’OK pour la chose musicale va le pousser dès l’âge de sept ans à engager son apprentissage pour les percussions. Encore très jeune, il va éblouir plus d’un sur de grandes scènes d’Afrique et d’Europe. Très tôt commencent ses collaborations avec des ensembles artistiques tels que le Village KIYI, AFROZIK et l’Ensemble SOTEKA. Il commence à nourrir son amour pour les instruments de musique et les rythmes traditionnels. C’est dans sa quête de savoir dans les différentes régions du pays qu’il est repéré par feu, le Professeur Niangoran BOUAH, le fondateur de la Drumologie, la science qui étudie le langage des tambours. Il apprendra alors pendant trois années aux côtés du maître, l’interprétation du tam-tam parleur. Ses études sont sanctionnées par une formation en musique et musicologie.
c’est toujours avec son drapeau orange, blanc et vert et cette phrase à la bouche : « I am from Côte d’Ivoire ! », que le jeune prodige de la percussion parcourt les scènes du monde.
Il ambitionne créer dès 2017 au Japon, le « N’ZASSA Festival » pour le brassage des rythmes et musiques du monde.
Atapointe