Les heurts qui ont éclaté vendredi matin à Abidjan, entre des "syndicats", groupes de personnes qui "rackettent" les conducteurs des transports en commun ont fait deux morts, a dit à ALERTE INFO une source proche de ces organisations.
"Oui, il y a eu vraiment deux morts", a affirmé sans en dire plus, un leader des syndicats des transporteurs en Côte d’Ivoire, joint au téléphone par ALERTE INFO, confirmant ainsi l’information sur le nombre exact de victimes, à l’issue de cet affrontement à la gare de Bassam dans la commune de Treichville au sud d’Abidjan, telle que relayée par les réseaux sociaux.
Plus tôt dans la journée, un agent du Centre de coordination des opérations décisionnelles (CCDO, Force spéciale de la police ivoirienne) présent sur les lieux au moment des faits (vers 07h00 GMT et locale) a confirmé la mort d’un homme suite à ces heurts.
Selon le policier, les protagonistes qui se sont "affrontés" à l’arme blanche "luttaient pour disposer du surplus de bénéfice" journalier réalisé par les syndicats de la zone "dans le racket" des conducteurs exerçant dans cette gare.
"Le plus souvent, ce sont des groupes (syndicaux) venant d’Abobo (au nord d’Abidjan) qui arrivent là pour essayer de prendre" le butin, mais aujourd’hui, ce sont ceux de Koumassi (sud) qui sont venus", a-t-il expliqué.
Ces bagarres rangées entre ces groupes rivaux à la gare de Treichville "sont récurrentes", a affirmé l’agent de sécurité.
MIR avec Rosine KOHET
"Oui, il y a eu vraiment deux morts", a affirmé sans en dire plus, un leader des syndicats des transporteurs en Côte d’Ivoire, joint au téléphone par ALERTE INFO, confirmant ainsi l’information sur le nombre exact de victimes, à l’issue de cet affrontement à la gare de Bassam dans la commune de Treichville au sud d’Abidjan, telle que relayée par les réseaux sociaux.
Plus tôt dans la journée, un agent du Centre de coordination des opérations décisionnelles (CCDO, Force spéciale de la police ivoirienne) présent sur les lieux au moment des faits (vers 07h00 GMT et locale) a confirmé la mort d’un homme suite à ces heurts.
Selon le policier, les protagonistes qui se sont "affrontés" à l’arme blanche "luttaient pour disposer du surplus de bénéfice" journalier réalisé par les syndicats de la zone "dans le racket" des conducteurs exerçant dans cette gare.
"Le plus souvent, ce sont des groupes (syndicaux) venant d’Abobo (au nord d’Abidjan) qui arrivent là pour essayer de prendre" le butin, mais aujourd’hui, ce sont ceux de Koumassi (sud) qui sont venus", a-t-il expliqué.
Ces bagarres rangées entre ces groupes rivaux à la gare de Treichville "sont récurrentes", a affirmé l’agent de sécurité.
MIR avec Rosine KOHET