Créateur du Mouvement Universitaire du Rap (MUR), Gbalou Marc alias Marc Lenoir, est, depuis bientôt 20 ans, basé en France où il travaille et officie dans plusieurs structures, et produit l’émission «Ambiance Culture» sur Radio C-LAB. Il est le manager général du reggaemaker ivoirien Ramsès de Kimon, le «Pharaon de la lagune Ebrié»... Et du ROK (RAMSES DE KIMON Organization ), la structure qui gère la carrière de l’artiste. A ce titre, il s’est confié à nous, pour annoncer le retour de Ramsès de Kimon, «un évènement, qui, à l’en croire, sera suivi d’une série d’actions qui vont secouer toute La Côte d’Ivoire». Entretien téléphonique.
Question : Marc Lenoir, quel bon vent !
Marc Lenoir : Bonjour Abidjan et surtout bonjour à tous les fans de l’artiste Reggae Ramsès de Kimon, puisque c’est lui qui nous réunit ce matin. Je vous annonce déjà que son retour est effectif. Le Clip « NO REASON » réalisé en Jamaïque et aux USA arrive à Abidjan.
Question : Pourquoi est-ce seulement maintenant que Ramsès De Kimon effectue un tel come-back ?
Marc Lenoir : En réalité, il n’est jamais trop tard pour un artiste de se remettre sur les rails. Ramsès De Kimon vient reprendre entièrement la place qu’il avait laissée, depuis Uprising, Djidji Nandjui, Vérité et autres. Souvenez-vous, les orchestres ‘JAH NOUS DEUX’ puis OUA (Orchestre de l’Université d’Abidjan), dans les années 80-82, c’était la belle époque avec Ramsès de Kimon. C’est ce statut qu’il vient honorer et assumer fort de sa riche expérience musicale.
Question : Les ivoiriens ont besoin de savoir pourquoi un si long silence !
Marc Lenoir : L’artiste a dû se soustraire lui-même du circuit musical, pendant au moins 17 ans, pour un souci évident de stratégie. Il lui fallait peaufiner son art pour offrir du grand cru aux publics abidjanais et international. Mais, il lui fallait aussi assurer sa vie quotidienne. Depuis bientôt 20 ans et pour ces raisons, il vit aux USA, précisément à Atlanta, la nouvelle base, où il a déposé ses valises il y a quelques mois. Aujourd’hui, il est Ingénieur SAP en informatique et Consultant, doublé d’une large expérience musicale à travers un vécu et des collaborations avec des musiciens reggae qui comptent le plus en ce moment. Tout ce bagage fait de lui un artiste abouti, multidimensionnel, à l’inspiration tout aussi caustique, qui arrive pour remettre le Reggae au cœur du peuple, mieux, aux mains du peuple.
Question : Remettre le Reggae aux mains du peuple, c’est-à-dire ?
Marc Lenoir : Ramsès De Kimon ne s’inscrit pas dans la polémique lorsqu’il affirme cela. Il arrive pour faire profiter de son talent façonné au pays de l’Oncle Sam et en Jamaïque. Il arrive pour faire vivre un reggae qui rassemble les peuples, à travers une grosse orchestration. C’est pour nous «l’évènement musical» de cette fin d’année.
Question : Peut-on avoir une idée de la déclinaison de cette déferlante ?
Marc Lenoir : Nous travaillons à ce que chaque maillon de la chaîne joue efficacement sa partition. Notre représentation en Côte d’Ivoire va dérouler le gros du conducteur. Cela dit, le lancement de cette grande action a déjà commencé. Après les travaux en studios, les lancements promotionnels, la RTI a pris le relais avec la diffusion du clip ‘NO REASON’. Nous tenons d’ailleurs à la remercier pour son soutien.
L’évènement mérite un accueil plus qu’enthousiaste des ivoiriens. L’album et le titre «LE PEUPLE» traitent de sujets qui sont étonnamment d’actualité. Notons que ce tube sera couplé d’un single inédit. Mais nous gardons la surprise pour l’instant.
Question : Quel message à l’endroit des fans de Ramsès De Kimon ? Il faut dire qu’ils ne courent plus les rues, tant le temps a fait son effet.
Marc Lenoir : Vous savez, une orchestration musicale faite avec beaucoup de sérieux traverse le temps et secoue les fans là où ils se trouvent. Bob Marley est mort voilà plus de 30 ans, mais sa musique demeure imparable. Ce n’est pas moi qui le dis ; c’est la bonne orchestration et le sérieux de l’artiste qui l’attestent. Ramsès de Kimon est un artiste très sérieux. C’est la signature qu’il porte, qui l’atteste aussi. Que les fans ne soient traversés par aucun doute, Kimon arrive avec du costaud et une démarche promotionnelle qui va s’étendre sur toute l’année 2017. Après une prestation fort bien réussie au MASA 2014, Ramsès De Kimon vient reprendre sa place dans le gotha du reggae en Côte d’Ivoire. A très bientôt.
Une correspondance particulière
Question : Marc Lenoir, quel bon vent !
Marc Lenoir : Bonjour Abidjan et surtout bonjour à tous les fans de l’artiste Reggae Ramsès de Kimon, puisque c’est lui qui nous réunit ce matin. Je vous annonce déjà que son retour est effectif. Le Clip « NO REASON » réalisé en Jamaïque et aux USA arrive à Abidjan.
Question : Pourquoi est-ce seulement maintenant que Ramsès De Kimon effectue un tel come-back ?
Marc Lenoir : En réalité, il n’est jamais trop tard pour un artiste de se remettre sur les rails. Ramsès De Kimon vient reprendre entièrement la place qu’il avait laissée, depuis Uprising, Djidji Nandjui, Vérité et autres. Souvenez-vous, les orchestres ‘JAH NOUS DEUX’ puis OUA (Orchestre de l’Université d’Abidjan), dans les années 80-82, c’était la belle époque avec Ramsès de Kimon. C’est ce statut qu’il vient honorer et assumer fort de sa riche expérience musicale.
Question : Les ivoiriens ont besoin de savoir pourquoi un si long silence !
Marc Lenoir : L’artiste a dû se soustraire lui-même du circuit musical, pendant au moins 17 ans, pour un souci évident de stratégie. Il lui fallait peaufiner son art pour offrir du grand cru aux publics abidjanais et international. Mais, il lui fallait aussi assurer sa vie quotidienne. Depuis bientôt 20 ans et pour ces raisons, il vit aux USA, précisément à Atlanta, la nouvelle base, où il a déposé ses valises il y a quelques mois. Aujourd’hui, il est Ingénieur SAP en informatique et Consultant, doublé d’une large expérience musicale à travers un vécu et des collaborations avec des musiciens reggae qui comptent le plus en ce moment. Tout ce bagage fait de lui un artiste abouti, multidimensionnel, à l’inspiration tout aussi caustique, qui arrive pour remettre le Reggae au cœur du peuple, mieux, aux mains du peuple.
Question : Remettre le Reggae aux mains du peuple, c’est-à-dire ?
Marc Lenoir : Ramsès De Kimon ne s’inscrit pas dans la polémique lorsqu’il affirme cela. Il arrive pour faire profiter de son talent façonné au pays de l’Oncle Sam et en Jamaïque. Il arrive pour faire vivre un reggae qui rassemble les peuples, à travers une grosse orchestration. C’est pour nous «l’évènement musical» de cette fin d’année.
Question : Peut-on avoir une idée de la déclinaison de cette déferlante ?
Marc Lenoir : Nous travaillons à ce que chaque maillon de la chaîne joue efficacement sa partition. Notre représentation en Côte d’Ivoire va dérouler le gros du conducteur. Cela dit, le lancement de cette grande action a déjà commencé. Après les travaux en studios, les lancements promotionnels, la RTI a pris le relais avec la diffusion du clip ‘NO REASON’. Nous tenons d’ailleurs à la remercier pour son soutien.
L’évènement mérite un accueil plus qu’enthousiaste des ivoiriens. L’album et le titre «LE PEUPLE» traitent de sujets qui sont étonnamment d’actualité. Notons que ce tube sera couplé d’un single inédit. Mais nous gardons la surprise pour l’instant.
Question : Quel message à l’endroit des fans de Ramsès De Kimon ? Il faut dire qu’ils ne courent plus les rues, tant le temps a fait son effet.
Marc Lenoir : Vous savez, une orchestration musicale faite avec beaucoup de sérieux traverse le temps et secoue les fans là où ils se trouvent. Bob Marley est mort voilà plus de 30 ans, mais sa musique demeure imparable. Ce n’est pas moi qui le dis ; c’est la bonne orchestration et le sérieux de l’artiste qui l’attestent. Ramsès de Kimon est un artiste très sérieux. C’est la signature qu’il porte, qui l’atteste aussi. Que les fans ne soient traversés par aucun doute, Kimon arrive avec du costaud et une démarche promotionnelle qui va s’étendre sur toute l’année 2017. Après une prestation fort bien réussie au MASA 2014, Ramsès De Kimon vient reprendre sa place dans le gotha du reggae en Côte d’Ivoire. A très bientôt.
Une correspondance particulière