Le président ivoirien Alassane Ouattara a annoncé vendredi “un plan spécial’’ et un investissement de “100 milliards FCFA’’ pour la commune d’Abobo (nord d’Abidjan), l’un de ses fiefs dans la capitale économique de Côte d’Ivoire, lors d’une cérémonie de lancement de lancement des travaux de voirie.
“Nous allons mettre un plan spécial que j’appellerai le plan ADO (Alassane Dramane Ouattara) pour Abobo (…) c’est une estimation d’environ de 100 milliards de fcfa que nous allons investir dans les années à venir à Abobo’’, a-t-il déclaré, dans son discours lors de cette cérémonie.
“Je vous promets que les investissements importants par dizaines de milliards que nous faisons ici et là, je prends l’engagement sur les quatre années à venir qui me restent de les faire à Abobo, de transformer Abobo’’, a insisté M. Ouattara.
Abobo a été au cœur de la crise postélectorale ivoirienne de décembre 2010-avril 2011, qui a opposé l’ancien chef de l’Etat Laurent Gbagbo à M. Ouattara, alors opposant, et fait quelque 3.000 morts.
Une guérilla baptisée "commando invisible" avait pris le contrôle de ce quartier et combattu férocement les forces de défense et de sécurité (FDS, armée sous Gbagbo), précipitant la chute de l’ancien président.
“Nous n’oublierons jamais Abobo. Je veux que cela soit clair (…) Abobo a été à l’avant-garde de mon combat pour la démocratie et la dignité’’, a conclu M. Ouattara.
Serge Alain KOFFI
“Nous allons mettre un plan spécial que j’appellerai le plan ADO (Alassane Dramane Ouattara) pour Abobo (…) c’est une estimation d’environ de 100 milliards de fcfa que nous allons investir dans les années à venir à Abobo’’, a-t-il déclaré, dans son discours lors de cette cérémonie.
“Je vous promets que les investissements importants par dizaines de milliards que nous faisons ici et là, je prends l’engagement sur les quatre années à venir qui me restent de les faire à Abobo, de transformer Abobo’’, a insisté M. Ouattara.
Abobo a été au cœur de la crise postélectorale ivoirienne de décembre 2010-avril 2011, qui a opposé l’ancien chef de l’Etat Laurent Gbagbo à M. Ouattara, alors opposant, et fait quelque 3.000 morts.
Une guérilla baptisée "commando invisible" avait pris le contrôle de ce quartier et combattu férocement les forces de défense et de sécurité (FDS, armée sous Gbagbo), précipitant la chute de l’ancien président.
“Nous n’oublierons jamais Abobo. Je veux que cela soit clair (…) Abobo a été à l’avant-garde de mon combat pour la démocratie et la dignité’’, a conclu M. Ouattara.
Serge Alain KOFFI