Le trésor public à travers la paierie générale de la dette publique a initié, ce mardi, des réflexions en vue de « recadrer » en préconisant des pistes de solutions pour un traitement beaucoup plus efficace et efficient des paiements directs par les bailleurs de fonds.
Il s’est agi pour la direction générale du trésor par le biais de cette première édition de la journée thématique dédiée aux paiements directs, d’examiner les préoccupations soulevées par ce mécanisme de décaissement.
« Des bailleurs de fonds payent directement au profit des opérateurs économiques, cela n’est pas retracé dans la comptabilité de l’État ou retracé tardivement (…), alors que nous évoluons vers des normes internationales. Il convient de revoir cette pratique afin de le recadrer et de faire retracer toutes les opérations à travers notre balance générale de l’État », a expliqué le payeur général de la dette publique, Aka Aka Denis.
Cette journée de réflexion devrait permettre d’assurer une maîtrise de l’exhaustivité des « reste à payer » des comptables publics, a souligné le représentant du directeur général du trésor, ouvrant cette journée de réflexion.
« Malheureusement, force est de constater combien il est difficile de mesurer l’exhaustivité des ressources engrangées en raison de l’impossibilité pour le comptable public de capter certaines ressources du fait des paiements directs par les bailleurs sans retour diligent de l’information au comptable public », a relevé représentant du directeur général du trésor, Gueye Alioun.
Cette rencontre vise entre autres à permettre aux acteurs de la gestion des projets cofinancés de maîtriser la procédure des paiements directs, d’instaurer un cadre de communication sur les opérations de paiements directs et surtout sensibiliser les acteurs sur la nécessité de faire circuler en temps réel l’information relative à une opération y afférant.
CK
Il s’est agi pour la direction générale du trésor par le biais de cette première édition de la journée thématique dédiée aux paiements directs, d’examiner les préoccupations soulevées par ce mécanisme de décaissement.
« Des bailleurs de fonds payent directement au profit des opérateurs économiques, cela n’est pas retracé dans la comptabilité de l’État ou retracé tardivement (…), alors que nous évoluons vers des normes internationales. Il convient de revoir cette pratique afin de le recadrer et de faire retracer toutes les opérations à travers notre balance générale de l’État », a expliqué le payeur général de la dette publique, Aka Aka Denis.
Cette journée de réflexion devrait permettre d’assurer une maîtrise de l’exhaustivité des « reste à payer » des comptables publics, a souligné le représentant du directeur général du trésor, ouvrant cette journée de réflexion.
« Malheureusement, force est de constater combien il est difficile de mesurer l’exhaustivité des ressources engrangées en raison de l’impossibilité pour le comptable public de capter certaines ressources du fait des paiements directs par les bailleurs sans retour diligent de l’information au comptable public », a relevé représentant du directeur général du trésor, Gueye Alioun.
Cette rencontre vise entre autres à permettre aux acteurs de la gestion des projets cofinancés de maîtriser la procédure des paiements directs, d’instaurer un cadre de communication sur les opérations de paiements directs et surtout sensibiliser les acteurs sur la nécessité de faire circuler en temps réel l’information relative à une opération y afférant.
CK