Abidjan - Cinq mille (5000) instructeurs adjoints seront recrutés au titre de la session 2017 du concours d’entrée dans les Centres d’animation et de formation pédagogique (CAFOP), a annoncé mercredi, le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné.
Le porte-parole du gouvernement a livré l’information au terme d’un conseil des ministres qui a décidé notamment de la réouverture du concours d’entrée dans les CAFOP aux titulaires du Brevet d'études du premier cycle (BEPC). La décision, selon lui, s’inscrit dans le cadre de la politique de scolarisation obligatoire des enfants de six à 16 ans initiée par le gouvernement depuis la rentrée scolaire 2015-2016.
« Cette mesure permettra d’élargir la base de la pyramide des formateurs à recruter pour combler le déficit d’enseignants dans l’enseignement préscolaire et primaire », a-t-il justifié.
La durée de la formation de ces instituteurs adjoints est désormais de trois ans, une année au CAFOP et deux années de stage sur le terrain, a informé en outre, le ministre Nabagné Koné.
Pour la session 2017, le concours sera organisé dans six capitales régionales, à savoir Abidjan, Abengourou, Gagnoa, Korhogo, Man et Yamoussoukro, afin de rapprocher les postulants des centres de composition et réduire les charges qu’ils devront supporter.
Le conseil des ministres a, par ailleurs, donné son accord pour l’organisation, en janvier 2017, d’« une session complémentaire à titre exceptionnel » du concours direct d’entrée à l’Institut national de formation des agents de santé (Infas).
« Les résultats du concours direct d’accès au titre de l’année académique 2017- 2020 avaient enregistré 837 candidats admis sur 1500 postes budgétaires prévus. Il y a donc un différentiel de 638 postes à combler. Aussi pour la bonne mise en œuvre de la programmation souhaitée, le conseil a autorisé l’organisation d’une session complémentaire à titre exceptionnel », a expliqué le porte-parole du gouvernement.
(AIP)
kg/ask
Le porte-parole du gouvernement a livré l’information au terme d’un conseil des ministres qui a décidé notamment de la réouverture du concours d’entrée dans les CAFOP aux titulaires du Brevet d'études du premier cycle (BEPC). La décision, selon lui, s’inscrit dans le cadre de la politique de scolarisation obligatoire des enfants de six à 16 ans initiée par le gouvernement depuis la rentrée scolaire 2015-2016.
« Cette mesure permettra d’élargir la base de la pyramide des formateurs à recruter pour combler le déficit d’enseignants dans l’enseignement préscolaire et primaire », a-t-il justifié.
La durée de la formation de ces instituteurs adjoints est désormais de trois ans, une année au CAFOP et deux années de stage sur le terrain, a informé en outre, le ministre Nabagné Koné.
Pour la session 2017, le concours sera organisé dans six capitales régionales, à savoir Abidjan, Abengourou, Gagnoa, Korhogo, Man et Yamoussoukro, afin de rapprocher les postulants des centres de composition et réduire les charges qu’ils devront supporter.
Le conseil des ministres a, par ailleurs, donné son accord pour l’organisation, en janvier 2017, d’« une session complémentaire à titre exceptionnel » du concours direct d’entrée à l’Institut national de formation des agents de santé (Infas).
« Les résultats du concours direct d’accès au titre de l’année académique 2017- 2020 avaient enregistré 837 candidats admis sur 1500 postes budgétaires prévus. Il y a donc un différentiel de 638 postes à combler. Aussi pour la bonne mise en œuvre de la programmation souhaitée, le conseil a autorisé l’organisation d’une session complémentaire à titre exceptionnel », a expliqué le porte-parole du gouvernement.
(AIP)
kg/ask