Gagnoa - L’hôpital général de Gagnoa a démarré mardi des journées portes ouvertes marquées par des séances de consultations et de dépistages gratuits de certaines maladies.
Le dépistage a concerné des maladies comme le diabète, la tension artérielle, le cancer du col de l’utérus et plusieurs pathologies en ORL notamment.
La seconde journée, ce mercredi, sera plutôt scientifique et permettra un échange de connaissances entre les praticiens du district sanitaire, a appris l’AIP de source médicale.
L’objectif de ces journées est de créer un cadre d’échanges entre la population et le personnel soignant, d’une part, et entre le personnel soignant de l’hôpital et ceux du district sanitaire, d’autre part, a expliqué le directeur de l’hôpital, Koffi Asséré.
L’hôpital général de Gagnoa est un don de la République populaire de Chine à la Côte d’Ivoire. Elle est bâtie sur deux hectares et a ouvert ses portes au grand public le 11 juin 2012, avant d’être officiellement inauguré par le chef de l’Etat, le 04 mars 2013, rappelle-t-on.
"Son plateau technique n’a rien à envier aux structures sanitaires privées d’Abidjan", soutient le directeur départemental de la Santé, le Dr Boukalo Kouassi.
Dd/kp
Le dépistage a concerné des maladies comme le diabète, la tension artérielle, le cancer du col de l’utérus et plusieurs pathologies en ORL notamment.
La seconde journée, ce mercredi, sera plutôt scientifique et permettra un échange de connaissances entre les praticiens du district sanitaire, a appris l’AIP de source médicale.
L’objectif de ces journées est de créer un cadre d’échanges entre la population et le personnel soignant, d’une part, et entre le personnel soignant de l’hôpital et ceux du district sanitaire, d’autre part, a expliqué le directeur de l’hôpital, Koffi Asséré.
L’hôpital général de Gagnoa est un don de la République populaire de Chine à la Côte d’Ivoire. Elle est bâtie sur deux hectares et a ouvert ses portes au grand public le 11 juin 2012, avant d’être officiellement inauguré par le chef de l’Etat, le 04 mars 2013, rappelle-t-on.
"Son plateau technique n’a rien à envier aux structures sanitaires privées d’Abidjan", soutient le directeur départemental de la Santé, le Dr Boukalo Kouassi.
Dd/kp