Abidjan - Le ministre des Affaires étrangères du Canada, Stéphane Dion, s’est réjouit mardi de la signature d’un accord inclusif en République démocratique du Congo, qui permet au président Joseph Kabila, de rester à la tête du pays, jusqu’à l’élection de son successeur d’ici fin décembre 2017.
« Le Canada se réjouit de l’accord politique inclusif qui a été conclu et signé le 31 décembre 2016 en République démocratique du Congo, ouvrant la voie à une sortie de crise et à une transition démocratique dans ce pays », a affirmé M. Dion dans un communiqué de presse, félicitant la Conférence épiscopale nationale qui a menée la médiation.
Il a exhorté les parties à mettre en œuvre l’accord qui établit les grandes lignes d’une transition politique et annonce la tenue des élections pour 2017, de façon pacifique et conformément à l’esprit de la Constitution.
« Le Canada demeure inquiet de l’ampleur des arrestations menées par les forces de l’ordre au cours du dernier mois. Nous rappelons à toutes les parties l’importance de respecter les droits et libertés des Congolais », a conclu M. Dion.
La RD Congo depuis près de trois mois a été en proie à des manifestations des populations qui réclamaient le départ du Président Kabila après deux mandats successifs, prévus par la Constitution.
kam
« Le Canada se réjouit de l’accord politique inclusif qui a été conclu et signé le 31 décembre 2016 en République démocratique du Congo, ouvrant la voie à une sortie de crise et à une transition démocratique dans ce pays », a affirmé M. Dion dans un communiqué de presse, félicitant la Conférence épiscopale nationale qui a menée la médiation.
Il a exhorté les parties à mettre en œuvre l’accord qui établit les grandes lignes d’une transition politique et annonce la tenue des élections pour 2017, de façon pacifique et conformément à l’esprit de la Constitution.
« Le Canada demeure inquiet de l’ampleur des arrestations menées par les forces de l’ordre au cours du dernier mois. Nous rappelons à toutes les parties l’importance de respecter les droits et libertés des Congolais », a conclu M. Dion.
La RD Congo depuis près de trois mois a été en proie à des manifestations des populations qui réclamaient le départ du Président Kabila après deux mandats successifs, prévus par la Constitution.
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