Abidjan - Le Consultant en écologie, Etienne N’Da, a révélé mercredi sur le plateau de l’émission « Matin Bonheur » de la Radiodiffusion Télévision Ivoirienne (RTI, publique) qu’Abidjan est aujourd’hui une ville polluée, du fait, en grande partie, aux véhicules importés.
Selon l’expert, 80% des voitures circulant dans la ville d’Abidjan sont des véhicules de seconde main communément appelés « voitures d’occasion » et « 60 % d’entre eux malheureusement roulent au Gasoil ».
« Or, le Gasoil s’avère très nocif pour l’environnement », a-t-il situé, ajoutant que ce sont 40 000 véhicules d’occasion qui sont introduits chaque année en Côte d’Ivoire.
Se basant sur une étude, il a révélé que le parc auto de la Côte d’Ivoire émet plus de gaz carbonique que les pays d’origine des véhicules. Etienne N’Da lie en partie ce fait à l’état de la voirie, faisant remarquer que « dans ces pays, les voies sont dégagées et la conduite plus aisée ».
Au nombre des mesures envisagées pour réduire les méfaits de cette pollution, M. N’Da a indiqué que le gouvernement a demandé à la Société ivoirienne de raffinage (SIR) de produire du carburant de qualité c'est-à-dire avec moins de souffre, proposant aussi de réduire l’âge des véhicules importés de 10 à huit ans.
it/fmo/cmas
Selon l’expert, 80% des voitures circulant dans la ville d’Abidjan sont des véhicules de seconde main communément appelés « voitures d’occasion » et « 60 % d’entre eux malheureusement roulent au Gasoil ».
« Or, le Gasoil s’avère très nocif pour l’environnement », a-t-il situé, ajoutant que ce sont 40 000 véhicules d’occasion qui sont introduits chaque année en Côte d’Ivoire.
Se basant sur une étude, il a révélé que le parc auto de la Côte d’Ivoire émet plus de gaz carbonique que les pays d’origine des véhicules. Etienne N’Da lie en partie ce fait à l’état de la voirie, faisant remarquer que « dans ces pays, les voies sont dégagées et la conduite plus aisée ».
Au nombre des mesures envisagées pour réduire les méfaits de cette pollution, M. N’Da a indiqué que le gouvernement a demandé à la Société ivoirienne de raffinage (SIR) de produire du carburant de qualité c'est-à-dire avec moins de souffre, proposant aussi de réduire l’âge des véhicules importés de 10 à huit ans.
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