Continuer à améliorer le quotidien des ivoiriens en utilisant de nouveaux outils de lutte contre la vie chère, tel est le message du ministre du commerce Jean-Louis Billon après une année 2016 qui n’ pas été de tout repos pour les consommateurs.
Dans un entretien accordé à Abidjan.net, le premier commerçant de Côte d’Ivoire a dressé un bilan plutôt positif des activités de son ministère : « L’actualité 2016 a été intense avec la hausse du prix de l’électricité qui a eu des effets sur l’ensemble des populations, mais nous avons œuvré pour limiter ces effets et les ramener à un niveau plus acceptable. Ensuite la suspension du nouveau permis de conduire à cause du coût et de la contrainte qu’il représentait pour les commerçants et les particuliers et enfin, nous avons mené une lutte contre la cartérisation dans le secteur du manioc afin d’éviter une autre pénurie ».
A ces différentes actions s’ajoutent la mise en place du Conseil National de Lutte contre la Vie Chère (CNLVC) qui comprend tous les acteurs intervenant dans la lutte contre la vie chère ou pouvant avoir un impact sur la formation des prix et l’adoption par l’assemblée nationale du Code sur la consommation.
Ce code, qui, aux dires du ministre est un outil essentiel, offre ainsi la possibilité aux consommateurs de défendre eux-mêmes leurs droits, au travers d’associations et traite également des questions de crédit à la consommation et de crédit immobilier.
« Il va accentuer la protection des consommateurs, faire connaitre leurs droits et permettre aux commerçants de travailler dans les règles précises pour favoriser les meilleurs prix, une meilleure qualité et une quantité plus importante de l’offre » a assuré M. Billon.
Poursuivant, il a révélé qu’une augmentation de prévue du coût de l’eau n’a pas eu lieu car dit-il, « nous travaillons en fonction de l’inflation et du prix d’achat des ivoiriens ».
Malgré ce bilan, le ministère du commerce ne compte pas s’asseoir sur ses lauriers et va continuer le combat pour réduire la vie chère. Ainsi il est prévu la réhabilitation du marché de gros de Bouaké et d’autres plateformes de distribution pour un approvisionnement rapide, qualitatif et compétitif des autres grandes villes du pays.
La continuité de la rénovation des textes sur la métrologie sera également un point essentiel cette année : « Il faut arrêter de présenter les marchandises par tas ou à la criée dans un pays qui aspire à l’émergence, d’où la promotion des balances à double faces. Il est important d’avoir des systèmes de transactions modernes. Nous sommes dans une dynamique de modernisation du secteur vivier et même du secteur informel. »
En 2017, le ministre billon émet des vœux de santé, de prospérité et de bonheur pour l’ensemble des ivoiriens, des consommateurs et des commerçants, tout en souhaitant que l’équation Consommation - commerçant soit en équilibre.
Atapointe
Dans un entretien accordé à Abidjan.net, le premier commerçant de Côte d’Ivoire a dressé un bilan plutôt positif des activités de son ministère : « L’actualité 2016 a été intense avec la hausse du prix de l’électricité qui a eu des effets sur l’ensemble des populations, mais nous avons œuvré pour limiter ces effets et les ramener à un niveau plus acceptable. Ensuite la suspension du nouveau permis de conduire à cause du coût et de la contrainte qu’il représentait pour les commerçants et les particuliers et enfin, nous avons mené une lutte contre la cartérisation dans le secteur du manioc afin d’éviter une autre pénurie ».
A ces différentes actions s’ajoutent la mise en place du Conseil National de Lutte contre la Vie Chère (CNLVC) qui comprend tous les acteurs intervenant dans la lutte contre la vie chère ou pouvant avoir un impact sur la formation des prix et l’adoption par l’assemblée nationale du Code sur la consommation.
Ce code, qui, aux dires du ministre est un outil essentiel, offre ainsi la possibilité aux consommateurs de défendre eux-mêmes leurs droits, au travers d’associations et traite également des questions de crédit à la consommation et de crédit immobilier.
« Il va accentuer la protection des consommateurs, faire connaitre leurs droits et permettre aux commerçants de travailler dans les règles précises pour favoriser les meilleurs prix, une meilleure qualité et une quantité plus importante de l’offre » a assuré M. Billon.
Poursuivant, il a révélé qu’une augmentation de prévue du coût de l’eau n’a pas eu lieu car dit-il, « nous travaillons en fonction de l’inflation et du prix d’achat des ivoiriens ».
Malgré ce bilan, le ministère du commerce ne compte pas s’asseoir sur ses lauriers et va continuer le combat pour réduire la vie chère. Ainsi il est prévu la réhabilitation du marché de gros de Bouaké et d’autres plateformes de distribution pour un approvisionnement rapide, qualitatif et compétitif des autres grandes villes du pays.
La continuité de la rénovation des textes sur la métrologie sera également un point essentiel cette année : « Il faut arrêter de présenter les marchandises par tas ou à la criée dans un pays qui aspire à l’émergence, d’où la promotion des balances à double faces. Il est important d’avoir des systèmes de transactions modernes. Nous sommes dans une dynamique de modernisation du secteur vivier et même du secteur informel. »
En 2017, le ministre billon émet des vœux de santé, de prospérité et de bonheur pour l’ensemble des ivoiriens, des consommateurs et des commerçants, tout en souhaitant que l’équation Consommation - commerçant soit en équilibre.
Atapointe