Après la désignation adoubée par l’Assemblée nationale de l’ancien Premier ministre Daniel Kablan Duncan, nommé à la vice-présidence, le président ivoirien, Alassane Ouattara, a procédé, mardi, en fin d’après-midi, à la nomination de son successeur, en la personne d’Amadou Gon-Coulibaly au Poste de Premier ministre, et chef du Gouvernement.
Lundi, un communiqué de la Présidence, en fin de matinée, annonçait une déclaration, en début de soirée, faisant du coup supputer sa nomination, lorsqu’il est apparu à la Télévision(RTI-1) donnant lecture des décrets relevant de leurs fonctions la hiérarchie des forces armées, de la gendarmerie et de la police.
Député réélu dans sa circonscription de Korhogo-commune (Nord du pays, région du Poro), l’homme, dont le nom circule depuis quelque temps à propos de la succession de Duncan, était à l’Assemblée nationale, où le pays a appris le choix du tout-nouveau vice-président de la République.
Ingénieur-Economiste, diplômé de l’école des Travaux publics de Paris, le nouveau chef du Gouvernement, qui entame ses 58 ans, devrait diriger un gouvernement resserré. Depuis l’avènement d’Alassane Ouattara à la tête du magistère ivoirien, il occupait les fonctions de secrétaire général de la Présidence jusqu'à cet après-midi.
Administrateur de l’Institut International pour l’Afrique(IIA), basé à Washington D.C, aux Etats-Unis, Amadou Gon-Coulibaly fut, à plusieurs reprises, ministre, depuis 2003. Troisième personnalité du RDR dans l’ordre de préséance, après Ouattara et Henriette Diabaté, il y fut longtemps secrétaire général-délégué. Il est grand officier de l’ordre national du Mérite ivoirien.
Conseiller, chargé de la coordination et du suivi de programmes et projets auprès de la Primature, lorsque Ouattara en était, de 1990 à 1993, lui- même Premier ministre, et chef du Gouvernement, Gon-Coulibaly, de son petit nom « Pelforo Gon-Plé » ou « Vié », officia en qualité de Directeur général adjoint à la Direction du contrôle des grands travaux(Dgctx), l’organisme public en charge des missions d’études techniques, économiques et de contrôle des grands projets et programmes d’infrastructures socio-économiques.
Nf/
Lundi, un communiqué de la Présidence, en fin de matinée, annonçait une déclaration, en début de soirée, faisant du coup supputer sa nomination, lorsqu’il est apparu à la Télévision(RTI-1) donnant lecture des décrets relevant de leurs fonctions la hiérarchie des forces armées, de la gendarmerie et de la police.
Député réélu dans sa circonscription de Korhogo-commune (Nord du pays, région du Poro), l’homme, dont le nom circule depuis quelque temps à propos de la succession de Duncan, était à l’Assemblée nationale, où le pays a appris le choix du tout-nouveau vice-président de la République.
Ingénieur-Economiste, diplômé de l’école des Travaux publics de Paris, le nouveau chef du Gouvernement, qui entame ses 58 ans, devrait diriger un gouvernement resserré. Depuis l’avènement d’Alassane Ouattara à la tête du magistère ivoirien, il occupait les fonctions de secrétaire général de la Présidence jusqu'à cet après-midi.
Administrateur de l’Institut International pour l’Afrique(IIA), basé à Washington D.C, aux Etats-Unis, Amadou Gon-Coulibaly fut, à plusieurs reprises, ministre, depuis 2003. Troisième personnalité du RDR dans l’ordre de préséance, après Ouattara et Henriette Diabaté, il y fut longtemps secrétaire général-délégué. Il est grand officier de l’ordre national du Mérite ivoirien.
Conseiller, chargé de la coordination et du suivi de programmes et projets auprès de la Primature, lorsque Ouattara en était, de 1990 à 1993, lui- même Premier ministre, et chef du Gouvernement, Gon-Coulibaly, de son petit nom « Pelforo Gon-Plé » ou « Vié », officia en qualité de Directeur général adjoint à la Direction du contrôle des grands travaux(Dgctx), l’organisme public en charge des missions d’études techniques, économiques et de contrôle des grands projets et programmes d’infrastructures socio-économiques.
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