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La mutinerie des deux semaines dernières et la grève des fonctionnaires en Côte d’Ivoire qui est toujours d’actualité font couler beaucoup d’encre dans la classe politique ivoirienne. Ainsi pour apporter leur soutien indéfectible au chef de l’État, Charles Gnahoré, Adama Bictogo, Sidi Touré ont animé un grand meeting avec la jeunesse ce samedi 21 janvier à Williamsville dans la commune d’Adjamé.
Cette Rencontre de soutien au Chef de l’Etat et au respect des institutions a été le lieu pour leaders politiques et quelques responsables de mouvements de soutien à Alassane Ouattara d’interpeller la jeunesse ivoirienne à la vigilance face à ces moments de troubles que connaît le pays ces temps-ci.
Selon le premier responsable de jeunesse au gouvernement, Sidi Tiémoko Touré, ministre de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique, il est important pour tous de veiller à maintenir un climat de paix et de sérénité. Et ce, pour encourager davantage les opérateurs économiques à investir et donner la chance aux investissements nationaux de fleurir.
" Nous devons nous lancer le défis d’être des modèles en tournant résolument le dos à la violence " a-t-il lancé.
Quant à Adama Bictogo, député d’Agboville, membre du bureau politique du RDR, a d’entrée de jeu félicité les jeunes pour cette mobilisation qu’il a d’ailleurs qualifié de témoignage de leur soutien au chef de l’État. Pour lui, autant le peuple peut comprendre les revendications des militaires, autant il regrette leurs agissements. ’’ Nous respectons notre armée, nous respectons notre gendarmerie, nous respectons notre police. Nous leur demandons de rester le ciment de la quiétude de notre pays. Il faut privilégier le dialogue en toutes circonstances ’’ a-t-il plaidé. Répondant aux propos du chef de l’opposition, Pascal Affi N’guessan qui en début de semaine a souhaité un gouvernement de transition, pour un retour au calme, Adama Bictogo a indiqué que cette proposition est malicieuse et irresponsable. ’’ dites aux hommes politiques de la tranche de Affi qui veulent profiter de cette situation pour créer un hypothétique soulèvement, qu’ils peuvent rêver debout ’’ s’est-il insurgé.
Bien avant, Charles Gnahoré, député de la commune de Bouaké, a dans son intervention rappelé les grandes réalisations et les chantiers en cours du président Alassane Ouattara. Selon lui, il n’y a aucun d’autre chef d’État ivoirien qui a pu faire ce que ’’ Alassane Ouattara a fait en 5ans depuis le décès de Félix Houphouët-Boigny ". Il a ensuite félicité les mutins pour avoir choisit la voie du dialogue dans le règlement de leurs revendications. S’adressant aux fonctionnaires, Charles Gnahoré a plaidé pour une reprise du travail dès lundi, car ’’ vous êtes l’un des maillons le plus essentiel dans le tissu économique et éducatif de notre pays, ainsi nous vous invitons à privilégier le dialogue dans la discipline pour le bonheur de tous" a-t-il dit.
Il s’est saisi de cette occasion pour exprimer sa compassion au Chef de l’État qui a été sans doute affecté par cette période de fronde sociale. Il a par ailleurs plaidé pour une accélération de la politique d’électrification dans tout le pays et surtout la résolution de l’épineux problème de la cherté de la vie qui serait bénéfique pour les ménages ivoiriens.
CK
Cette Rencontre de soutien au Chef de l’Etat et au respect des institutions a été le lieu pour leaders politiques et quelques responsables de mouvements de soutien à Alassane Ouattara d’interpeller la jeunesse ivoirienne à la vigilance face à ces moments de troubles que connaît le pays ces temps-ci.
Selon le premier responsable de jeunesse au gouvernement, Sidi Tiémoko Touré, ministre de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique, il est important pour tous de veiller à maintenir un climat de paix et de sérénité. Et ce, pour encourager davantage les opérateurs économiques à investir et donner la chance aux investissements nationaux de fleurir.
" Nous devons nous lancer le défis d’être des modèles en tournant résolument le dos à la violence " a-t-il lancé.
Quant à Adama Bictogo, député d’Agboville, membre du bureau politique du RDR, a d’entrée de jeu félicité les jeunes pour cette mobilisation qu’il a d’ailleurs qualifié de témoignage de leur soutien au chef de l’État. Pour lui, autant le peuple peut comprendre les revendications des militaires, autant il regrette leurs agissements. ’’ Nous respectons notre armée, nous respectons notre gendarmerie, nous respectons notre police. Nous leur demandons de rester le ciment de la quiétude de notre pays. Il faut privilégier le dialogue en toutes circonstances ’’ a-t-il plaidé. Répondant aux propos du chef de l’opposition, Pascal Affi N’guessan qui en début de semaine a souhaité un gouvernement de transition, pour un retour au calme, Adama Bictogo a indiqué que cette proposition est malicieuse et irresponsable. ’’ dites aux hommes politiques de la tranche de Affi qui veulent profiter de cette situation pour créer un hypothétique soulèvement, qu’ils peuvent rêver debout ’’ s’est-il insurgé.
Bien avant, Charles Gnahoré, député de la commune de Bouaké, a dans son intervention rappelé les grandes réalisations et les chantiers en cours du président Alassane Ouattara. Selon lui, il n’y a aucun d’autre chef d’État ivoirien qui a pu faire ce que ’’ Alassane Ouattara a fait en 5ans depuis le décès de Félix Houphouët-Boigny ". Il a ensuite félicité les mutins pour avoir choisit la voie du dialogue dans le règlement de leurs revendications. S’adressant aux fonctionnaires, Charles Gnahoré a plaidé pour une reprise du travail dès lundi, car ’’ vous êtes l’un des maillons le plus essentiel dans le tissu économique et éducatif de notre pays, ainsi nous vous invitons à privilégier le dialogue dans la discipline pour le bonheur de tous" a-t-il dit.
Il s’est saisi de cette occasion pour exprimer sa compassion au Chef de l’État qui a été sans doute affecté par cette période de fronde sociale. Il a par ailleurs plaidé pour une accélération de la politique d’électrification dans tout le pays et surtout la résolution de l’épineux problème de la cherté de la vie qui serait bénéfique pour les ménages ivoiriens.
CK
