Dakar - Un atelier d’experts africains et européens de haut niveau sur la gestion des risques dans le domaine de la sûreté de l’aviation civile, s’est tenu lundi à Dakar, à l’initiative de la Délégation de l’Union européenne (UE) au Sénégal.
Selon un communiqué transmis à l’APS, cette rencontre avait été présidée par la secrétaire générale de la Commission africaine de l’aviation Civile, Iyabo O. Sosina, dans les locaux de ladite institution à Dakar.
Dans des propos rapportés par le communiqué, Mme Sosina a expliqué que cette activité s’inscrivait dans le cadre du projet CASE, portant sur le renforcement de la sureté de l’aviation civile en Afrique et dans la péninsule Arabique et financé par l’Union européenne (UE) à hauteur de 4,5 milliards FCFA, soit 7 millions d’euros.
Il est mis en œuvre par la Conférence européenne de l’aviation civile sur la période 2015-2019, poursuit le communiqué, selon lequel ce séminaire-formation a réuni des experts de 29 Etats de toutes les régions africaines, dont l’Afrique du Sud, l’Algérie, l’Angola, le Bénin, le Botswana.
Il y avait aussi le Cap-Vert, la Côte d’Ivoire, la Centrafrique, l’Ethiopie, la Gambie, le Ghana, la Guinée-Bissau, l’Île Maurice, le Kenya, le Mali, la Mauritanie et le Nigéria.
Etaient également présents, des experts de l’Ouganda, de la République démocratique du Congo, de la République du Congo, du Sénégal, du Togo, de la Zambie, du Zimbabwe, du Gabon, du Soudan, et du Soudan du Sud, sans compter huit spécialistes de la France, de l’Irlande, des Pays-Bas et du Royaume-Uni.
« Avec un nombre important d’incidents survenus sur le sol africain et notamment 28 des 43 attaques par missiles sol-air survenues entre 1975 et 2011, la sureté est un sujet de préoccupation majeure pour le continent dont l’industrie de l’aviation civile dispose d’une marge de croissance qui demeure insuffisamment exploitée », renseigne le communiqué.
(APS/AIP)
sdaf/akn/kam
Selon un communiqué transmis à l’APS, cette rencontre avait été présidée par la secrétaire générale de la Commission africaine de l’aviation Civile, Iyabo O. Sosina, dans les locaux de ladite institution à Dakar.
Dans des propos rapportés par le communiqué, Mme Sosina a expliqué que cette activité s’inscrivait dans le cadre du projet CASE, portant sur le renforcement de la sureté de l’aviation civile en Afrique et dans la péninsule Arabique et financé par l’Union européenne (UE) à hauteur de 4,5 milliards FCFA, soit 7 millions d’euros.
Il est mis en œuvre par la Conférence européenne de l’aviation civile sur la période 2015-2019, poursuit le communiqué, selon lequel ce séminaire-formation a réuni des experts de 29 Etats de toutes les régions africaines, dont l’Afrique du Sud, l’Algérie, l’Angola, le Bénin, le Botswana.
Il y avait aussi le Cap-Vert, la Côte d’Ivoire, la Centrafrique, l’Ethiopie, la Gambie, le Ghana, la Guinée-Bissau, l’Île Maurice, le Kenya, le Mali, la Mauritanie et le Nigéria.
Etaient également présents, des experts de l’Ouganda, de la République démocratique du Congo, de la République du Congo, du Sénégal, du Togo, de la Zambie, du Zimbabwe, du Gabon, du Soudan, et du Soudan du Sud, sans compter huit spécialistes de la France, de l’Irlande, des Pays-Bas et du Royaume-Uni.
« Avec un nombre important d’incidents survenus sur le sol africain et notamment 28 des 43 attaques par missiles sol-air survenues entre 1975 et 2011, la sureté est un sujet de préoccupation majeure pour le continent dont l’industrie de l’aviation civile dispose d’une marge de croissance qui demeure insuffisamment exploitée », renseigne le communiqué.
(APS/AIP)
sdaf/akn/kam