Des exposants du salon international de la sécurité de la défense (ShieldAfrica), qui se déroule du 24 au 26 janvier à Abidjan, se disent "rassurés" de la situation sécuritaire en Côte d’Ivoire, où une grogne socio-militaire a entraîné des violences dans plusieurs villes depuis le début de l’année.
"Nous avons été rassurés par le comité d’organisation, qui a envoyé un e-mail à tous les exposants pour nous rassurer que le salon aura lieu, malgré la situation sécuritaire, car le pays est sécurisé", a confié Marcel Akriche, exposant de la société française Navi-Trade, spécialisée en logistiques maritimes.
Patrick Chanois, responsable de vente de Drone volt, une société française, avoue qu’ils se sont "posé la question une fois", mais heureusement que nous avons "reçu un mail de la part du comité d’organisation, nous rassurant de la situation sécuritaire du pays" a-t-il ajouté.
Come Efu, traducteur de la société italienne Explorer cases, spécialisée en production et vente de valises sécuritaires, confie qu’ils ont "eu peur, car ils m’ont appelé pour savoir l’état de la situation militaire, je les ai rassurés pour leur dire que l’Etat a résolu le problème".
Le 6 janvier, la ville de Bouaké, dans le Centre ivoirien, avait été le point de départ d’une mutinerie qui s’était propagée dans la plupart des grandes villes du pays, y compris Abidjan. Les soldats réclamaient le paiement de primes dont les premiers versements ont débuté le 16 janvier.
Le 17 janvier, un nouveau soulèvement est parti de Yamoussoukro, avant de toucher des grandes villes du pays, faisant quatre morts dans la capitale politique ivoirienne.
Mercredi, le gouvernement ivoirien s’est "félicité du retour au calme", après un mouvement de protestation des militaires pour exiger des primes, promettant d’examiner "les propositions issues des consultations" avec les grands commandements, pour "recenser toutes les préoccupations".
HAN
"Nous avons été rassurés par le comité d’organisation, qui a envoyé un e-mail à tous les exposants pour nous rassurer que le salon aura lieu, malgré la situation sécuritaire, car le pays est sécurisé", a confié Marcel Akriche, exposant de la société française Navi-Trade, spécialisée en logistiques maritimes.
Patrick Chanois, responsable de vente de Drone volt, une société française, avoue qu’ils se sont "posé la question une fois", mais heureusement que nous avons "reçu un mail de la part du comité d’organisation, nous rassurant de la situation sécuritaire du pays" a-t-il ajouté.
Come Efu, traducteur de la société italienne Explorer cases, spécialisée en production et vente de valises sécuritaires, confie qu’ils ont "eu peur, car ils m’ont appelé pour savoir l’état de la situation militaire, je les ai rassurés pour leur dire que l’Etat a résolu le problème".
Le 6 janvier, la ville de Bouaké, dans le Centre ivoirien, avait été le point de départ d’une mutinerie qui s’était propagée dans la plupart des grandes villes du pays, y compris Abidjan. Les soldats réclamaient le paiement de primes dont les premiers versements ont débuté le 16 janvier.
Le 17 janvier, un nouveau soulèvement est parti de Yamoussoukro, avant de toucher des grandes villes du pays, faisant quatre morts dans la capitale politique ivoirienne.
Mercredi, le gouvernement ivoirien s’est "félicité du retour au calme", après un mouvement de protestation des militaires pour exiger des primes, promettant d’examiner "les propositions issues des consultations" avec les grands commandements, pour "recenser toutes les préoccupations".
HAN