Les professionnels de la communication réunis au sein du Réseau ivoirien des communicants (RICOM) ont massivement pris part à leur traditionnelle conférence annuelle tenue le 26 janvier au Plateau.
« Rôle des communicants pour une bonne gouvernance des entreprises en Côte d’Ivoire, outils et compétences ». Tel était le thème développé par les panélistes de la conférence annuelle Communicants.
La présidente dudit Réseau, Merheb Obou Doumbia a d’emblée situé les enjeux de cette plateforme d’échange et de partage qui vise à valoriser et promouvoir le métier de communication, cultiver les bonnes pratiques et surtout former ses membres.
Aussi a-t-elle expliqué la pertinence du thème dont la compréhension devrait favoriser l’efficacité des services de communication et participer à la bonne gouvernance en entreprise et en Côte d’Ivoire de façon générale. Cette conférence doit être « une force de proposition, un instrument au service du pays », a-t-elle souligné. Jean Maximin Doh, l’un des panélistes a dans la conférence inaugurale, insisté sur la bonne gouvernance et le cadre juridique et institutionnel ivoirien censé favoriser la gestion efficiente des organisations.
Il a rappelé la convention des Nations unies contre la corruption ratifiée par la Côte d’Ivoire en 2012 et le traité de l’Union africaine pour prévenir la mal gouvernance dénommé « convention de Maputo ».
Il a par ailleurs exhorté les dirigeants d’entreprise, les hommes de médias et autres communicants à s’approprier « l’outil communication » pour une gestion rationnelle et bénéfique de leurs entreprises.
La gouvernance définie l’ensembles des structures et procédures mises en place pour gérer de façon transparente et équitable des pouvoirs est gage d’attractivité des entreprises et par extension, du pays au plan international. Dans cette veine, le directeur des ressources humaines de la CGRAE, Idriss Traoré a indiqué que le concept de bonne gouvernance en entreprise repose essentiellement sur 3 piliers.
À savoir : l’information, le contrôle et la sanction. Selon lui, tous les acteurs d’une organisation professionnelle doivent être au même niveau d’information. Ce qui implique que, du supérieur hiérarchique jusqu’au subalterne, les canaux de communication et d’information interne et externe de l’entreprise doivent être efficaces pour que chacun s’acquitte convenablement des tâches dont il a la responsabilité.
Aussi a-t-il expliqué les enjeux de la communication pour les entreprises qui en raison du contexte actuel marqué par la concurrence à tous les niveaux, doivent impérativement valoriser et communiquer sur leur image en vue de préserver leurs relations avec leurs partenaires internes et extérieurs.
Notons également que les Journées nationales de la communication et du marketing (JNCM) prévues à Yamoussoukro du 23 au 25 Février, ont été présentées au public, avec pour ambition de drainer toute la communauté des communicants du pays le mois prochain vers la capitale politique.
Le président de cette conférence annuelle Seydou Elimane Diarra, s’est fait représenter par Ouraga obou qui a clôturé cet évènement par une brillante intervention, rappelant les enjeux du thème et en réaffirmant le soutien de la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance au Réseau Ivoirien des Communicants.
« Rôle des communicants pour une bonne gouvernance des entreprises en Côte d’Ivoire, outils et compétences ». Tel était le thème développé par les panélistes de la conférence annuelle Communicants.
La présidente dudit Réseau, Merheb Obou Doumbia a d’emblée situé les enjeux de cette plateforme d’échange et de partage qui vise à valoriser et promouvoir le métier de communication, cultiver les bonnes pratiques et surtout former ses membres.
Aussi a-t-elle expliqué la pertinence du thème dont la compréhension devrait favoriser l’efficacité des services de communication et participer à la bonne gouvernance en entreprise et en Côte d’Ivoire de façon générale. Cette conférence doit être « une force de proposition, un instrument au service du pays », a-t-elle souligné. Jean Maximin Doh, l’un des panélistes a dans la conférence inaugurale, insisté sur la bonne gouvernance et le cadre juridique et institutionnel ivoirien censé favoriser la gestion efficiente des organisations.
Il a rappelé la convention des Nations unies contre la corruption ratifiée par la Côte d’Ivoire en 2012 et le traité de l’Union africaine pour prévenir la mal gouvernance dénommé « convention de Maputo ».
Il a par ailleurs exhorté les dirigeants d’entreprise, les hommes de médias et autres communicants à s’approprier « l’outil communication » pour une gestion rationnelle et bénéfique de leurs entreprises.
La gouvernance définie l’ensembles des structures et procédures mises en place pour gérer de façon transparente et équitable des pouvoirs est gage d’attractivité des entreprises et par extension, du pays au plan international. Dans cette veine, le directeur des ressources humaines de la CGRAE, Idriss Traoré a indiqué que le concept de bonne gouvernance en entreprise repose essentiellement sur 3 piliers.
À savoir : l’information, le contrôle et la sanction. Selon lui, tous les acteurs d’une organisation professionnelle doivent être au même niveau d’information. Ce qui implique que, du supérieur hiérarchique jusqu’au subalterne, les canaux de communication et d’information interne et externe de l’entreprise doivent être efficaces pour que chacun s’acquitte convenablement des tâches dont il a la responsabilité.
Aussi a-t-il expliqué les enjeux de la communication pour les entreprises qui en raison du contexte actuel marqué par la concurrence à tous les niveaux, doivent impérativement valoriser et communiquer sur leur image en vue de préserver leurs relations avec leurs partenaires internes et extérieurs.
Notons également que les Journées nationales de la communication et du marketing (JNCM) prévues à Yamoussoukro du 23 au 25 Février, ont été présentées au public, avec pour ambition de drainer toute la communauté des communicants du pays le mois prochain vers la capitale politique.
Le président de cette conférence annuelle Seydou Elimane Diarra, s’est fait représenter par Ouraga obou qui a clôturé cet évènement par une brillante intervention, rappelant les enjeux du thème et en réaffirmant le soutien de la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance au Réseau Ivoirien des Communicants.
